Le problème est la notion de dualité. Relire Mélanie Klein : la catholicisme est fixé au sate schizo paranoïde : c’est moi ou l’autre (l’ennemi désigne excepté la vierge, est le féminin). L’image est claire : nous sommes la pureté de la vierge (névrose obsessionnelle) et le ce qui est sale est le mal (Toc de se laver en permanence les mains : les règles, c’est le mal). A l’opposé, les juifs (ou plutôt la torah) est l’inverse, ils ont intégré l’ambivalence, parfaitement imagée dans l’arbre séphirotique (à gauche, le féminin, la rigueur, la guerre (Géburah) et l’intellect froid sans émotion : HOD mercure). A droite : la compassion masculine : vénus et la sexualité, créativité, jupiter, la compassion, Uranus la libération. Le un est au centre de l’arbre : l’accord des opposés (ce n’est pas pour rien que les juifs vénère l’arche d’ALLIANCE). De Malkuth, la terre, le 10 (TETRAKTIS) qui monte jusqu’au UN (KETHER). D’ailleurs, le chiffre 2 (BEITH, BETHLEEM signifie : maison). Le deux a besoin du UN phalique pour devenir : DIEU, le Métatron ou l’HERMES qui fait le lien entre le haut et le bas, en intégrant la dualité nécessaire pour construire le UN ou Cosmothéisme. Une sorte de Forgeron de l’alliance des opposés qui sont nécessaires pour reformer l’unité perdue. Prenons l’exemple de Saturene face à Uranus (Hochmah : l’illimité : sans Saturne, Uranus tombe dans la folie des grandeur : Babylone : l’homme qui se veut égal à une idée de Dieu). C’est d’ailleurs l’ange Métatron qu prépare l’exil de Babylone, la grande prostituée....corrompue par l’absence de LOIS (saturne). Si pour le catholique : Saturne est le SATAN, pour les juif au contraire : fêtant le jour du shabbat un samedi (jour de saturne) c’est un jour sacré, lié à l’abstinence du ùatériel pour se consacrer au spirituel. Pour Mélanie Klein : le sevrage du sein est la phase dépressive qui permet l’entrée dans l’ambivalence : j’aime ma mère et en même temps, je la déteste : dépression, manque salutaire car c’est aussi le moment de l’entrée dans le sein bolique : le fantasme, l’imaginaire. Là où le symbole peut pallier à l’absence, le deuil du bonheur illusoire du réel. BOLIQUE peut se lire comme oblique, obliquer, prendre une autre route,....du sein au saint, sans être dans l’obsession du sain...Le « T » ou croix de TAU en plus dans la valise que l’enfant transportera dans sa vie. Tau ou TAV : la vérité...http://soleildelumiere.canalblog.com/archives/2013/03/01/26542075.htm