@André Bonheur
« comme toute naissance, dans l’incertitude et la violence sur l’être à venir »
On peut assimiler une révolution à une naissance, on est en plein dans la poésie...
Un bébé en général on sait à quoi ça va ressembler. Reste aux parents à l’éduquer avec amour (et ils ne sont que deux à se mettre d’accord sur la méthode) et en espérant que les relations de voisinage contribueront à le faire évoluer dans le bon sens...
Une révolution, je ne mettrais pas ma main au feu pour dire ce qu’elle va devenir. Surtout celle dont vous me parlez.
A commencer si les participants ne sont pas d’accord pour aller dans le même sens, tout de suite, dans le feu de l’action, mais, et surtout, après si des divergences se font jour...
On pourra toujours ressortir la guillotine, ou mettre en ordre de marche les pelotons d’exécution... C’est ça avoir des co..lles ?
« Cela annonce des temps difficiles mais un espoir incommensurable, des bouleversements imprévus mais prodigieux. »
C’est beau la foi !
« Ce qui se transmet de cette façon (...) c’est la vie nue, cruelle et désirable »
rien compris... vous voulez un avenir cruel ? Sinon rien ?
« L’enjeu sanitaire actuel est celui là, savoir mourir pour transmettre la vie. »
Et en plus il faut obligatoirement y laisser sa peau ? Ou celle des troufions que vous enverrez au hachoir ?
Mais pour éviter toute cette confusion, je reste persuadé qu’il vaut mieux commencer par discuter avant sur ce qu’on veut faire. On a le temps en ce moment, qu’est-ce qui nous en empêche ??
Si on s’aperçoit qu’il n’y a pas d’accord possible, on va se coucher les doigts de pieds en évantail et on laisse les révolutionnaires de pacotille se débrouiller entre eux...
Alors on en discute ? « Pas le temps j’ai des articles à écrire sur AV... » ah ! bon... alors écrivez et commentez, et bon vent !