Nous prétendons être devenus des champions en matière d’étude et de manipulation des molécules mais je vais poser le problème sous l’angle philosophique :
— On sait (les scientifiques) que l’observateur peut, par le seul fait qu’il observe, modifier la composition ou le comportement d’une molécule.
— Imaginez ce que votre intention (et non plus seulement l’observation objective) peut produire comme effet sur les molécules de votre cerveau.
C’est l’intention qui dirige tout !
— Exemple concret : votre intention est de montrer que la vague sanitaire est là en détectant des « cas positifs ». En ce cas votre intention modifiera votre conscience (et les molécules du cerveau) pour aboutir à élaborer un système logique imparable qui démontrera (et non « prouvera ») que le nombre de cas positif est incontestable et que les conséquences de la vague sanitaire anticipées seront les mêmes que lors du premier phénomène.
C’est l’intention qui commande à tout !
Dans notre exemple, vous allez un test très sensible et vous allez vous précipitez là où des milliers de jeunes ont le plus de chances de se partager le virus. Le résultat sera conforme à vos attentes, à vote intention initiale.
On pense conforme.
C’est-à-dire que l’on désire ardemment penser avec l’intention première.
L’orateur de santé sur un plateau télé :
— « Vous voyez que c’est parfaitement logique !
— Mais oui. Si c’est parfaitement logique alors c’est parfaitement vrai. »
Erreur. C’est confondre logique et vérité. Tout dépend des données que vous entrez dans votre logique de pensée et de l’intention qui vous anime. La vérité ne se confond pas avec les résultats d’une système logique programmé et défaillant à cause de l’intention qui le sous-tend. La finalité recherchée fausse la réalité.
La logique ne doit être qu’n des outils de la conscience. Elle ne doit pas commander la conscience. La logique est au service de l’intention. La logique n’est pas toute la conscience.