@MagicBuster autrefois certaines personnes considérées à la naissance comme du sexe féminin, se révélaient avec le temps très dures, au point qu’on les appelait des viragos. Était-ce en raison d’un virus ? Je ne sais pas (vir est le membre de mot relatif au sexe, comme dans viril). En tout cas, certain(e, i k, p,, x...) aujoud’hui s’évertuent à brouiller les pistes, peut-être pour cacher la dureté de quelques-unes. Ou la mollesse criminelle de quelques-uns. En tout cas cela ne concerne que quelques milliers de personnes sur la France entière. Les anomalies normales qui confirment la majorité.
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Pour donner des exemples, Marie-Antoinette n’était qu’une femme normale, née où il ne fallait pas, et son mari n’était qu’un brave homme plutôt conciliant qui jamais n’aurait voulu se retrouver à la tête de la France : c’est pourquoi des vicieux, des pervers le leur ont fait payer, comme c’est courant aujourd’hui quand des citoyens intelligents font mine de dévoiler le pot-aux-roses (celui qui empeste le cimetière). Le plus rompu à ce jeu-là était né dans la ville peu connue de Jarnac (sauf par son excellent cognac Courvoisier – publicité gratuite – mais qui vaut d’être connue), lointain parent d’une dame que j’ai connue, dernière représentante en les lieux d’origine de la famille Desmier d’Olbreuse, ; la plus représentative fut cette dame d’atours, exilée à La Haye (elle était protestante évidemment) au XVIIe siècle, que Louis XIV dans ses lettres qu’il lui envoyait qualifiait de « ma cousine » en gage d’estime, et qui finit par se marier avec le Duc de Brunswick : sa fille fut à la fois la mère du futur George II du Royaume-Uni, et grand-mère du Grand Frédéric de Prusse.
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Ce Monsieur, d’après ce que j’ai peu en comprendre – les médias sont muets là-dessus – visita plusieurs fois cette lointaine cousine dans les années 1985-1995, et je me demande s’il n’en a pas profité, via cette cousine, de réussir à avoir des entrevues avec le père d’un copain, « toucheur » très efficace même contre les cancers. C’est pourquoi je fus tellement marri quand, le consultant via un rendez-vous obtenu par son fils vrai ami de collège, puis collègue, il déclara à ma femme , l’air consterné : non, ce ne sont pas de simples pieds qui se tordent, et JE NE PEUX RIEN FAIRE. Aujourd’hui, il y a plus de dix ans qu’elle est décédée. Alors que, malgré une maladie bien avancée, le Prés.Mitterrand qui le savait dès la fin du premier mandat, a tenu à en assumer un second. Ce n’était « qu’un cancer... ».