@Lampion
Ne jouons
pas sur les mots. En lieu et place de « complot », celui de « conspiration »
contre la « Démocratie », contre le « Principe d’Humanité »,
contre l’Humanité, contre l’État-Nation, contre l’économie au sens complexe du terme,
ou encore la négation du fait sociétal : vous conviendrait mieux !
Comment dénommer « provoquer une crise »
(théorie du choc… d’un choc provoqué du fait d’une opportunité ou pas), sinon par
le terme de « complot » ou de « conspiration » ; puis traiter
de « complotiste » ou de conspirationnistes » ceux qui, en
réalité, sont des lanceurs d’alerte !
« En face il n’y a rien » Chez les
politiques, les « politichiens », pour sûr il n’y a rien !
Mais la société civile, là où l’on trouve ces lanceurs d’alerte il y a du monde !
Des Plaintes sont déposées au Tribunal
de Justice Internationale en vertu du Code de Nuremberg ; ce n’est pas
rien ! Et il y a des arguments… on verra si la justice internationale est
libre ou sous influence ! Si elle est sous influence il faudra alors se
passer de la justice…
Un « totalitarisme
privée » contre et une « Liberté individuelle », non pas absolue
mais conditionnelle car sociétale liée « Principe d’Humanité » !
Théorie du complot
(de même que les néologismes complotisme / conspirationnisme /
conjurationnisme) est une expression d’origine anglaise, définie pour la
première fois en 1945 par Karl Popper, qui dénonce comme abusive une hypothèse
(en anglais theory) selon laquelle un événement politique a été causé par
l’action concertée et secrète d’un groupe de personnes qui avaient intérêt à ce
qu’il se produise, plutôt que par le déterminisme historique ou le hasard. Pour
Peter Knight, de l’université de Manchester, cette théorie met en scène « un
petit groupe de gens puissants [qui] se coordonne en secret pour planifier et
entreprendre une action illégale (ou autre) et néfaste affectant le cours des
événements », afin d’obtenir ou de conserver une forme de pouvoir (politique,
économique ou religieux).
La théorie du complot
attribue une cause unique à des faits avérés. Elle se différencie en cela de la
démarche historique, qui induit une multi-causalité