Dans le but de devancer de possibles futures épidémies, certains laboratoires, tel que le laboratoire P4 à Wuhan, procèdent à des mutations expérimentales de gênes individuels d’organismes, afin que ceux-ci acquièrent des fonctions additionnels (gain of function), telle que par exemple la transmissibilité accrue d’un virus, une sorte de dopage, un type de recherche « mise en suspension » aux Etats-Unis par l’administration Obama, car dangereuse.
Afin de contourner cette fâcheuse interdiction le Dr. Antony Fauci, Directeur de l’institut National des Allergies et maladies infectieuses, un centre de recherche du Département de la Santé américain, conseiller du gouvernement américain dans le cadre de la gestion de la pandémie du coronavirus, faisait parvenir à l’institut à Wuhan, via une ONG new yorkaise du nom de Eco Health Alliance, dirigée par le Dr. Peter Dasza, des sommes substantielles, 3,4 million USD entre 2014 et 2019, afin de financer précisément ces recherches « gain of function », co-dirigées par la chercheuse chinoise Dr. Shi.
Sur une question du Sénateur républicain Rand Paul, lors d’un hearing devant le Congrès américain au Dr. Fauci, si le NIH (Département de la Santé) s’adonnait à de telles expériences « gain of function » à Wuhan et la finançait, le Dr. Fauci répondit : « Absolument pas. Mais, si le Dr. Baric (un éminent virologue, spécialiste en »gain of fonction« recherche) l’avait fait, il aurait scrupuleusement respecté les lignes directrices en la matière. » fin de citation
On ajouterait qu’il ressort d’un e-mail rendu public par le « New York Post » entre Dasza et Fauci que le premier remerciait le dernier, au nom de l’équipe du laboratoire à Wuhan, pour « avoir exclu publiquement une origine artificielle du virus Sars Cov 2 et donc un accident de laboratoire. »
Pour l’instant tout n’est qu’hypothèse, bien que l’ancien directeur du CDC « Center for Disease Control », Robert Redfield, trouve qu’une origine naturelle du virus SARS Cov 2 « ne fait pas de sens sur le plan biologique », mais le fait qu’on administre actuellement un vaccin expérimental, ARNm, à la terre entière pour combattre un agent pathogène, potentiellement « expérimental », paraît tout de même un peu déconcertant.
Par ailleurs on constate que la soudaine instrumentalisation médiatique de la fuite d’un laboratoire, chinois en l’occurrence, quid la théorie du complot, occulte soigneusement, le possible rôle des Etats-Unis dans cette affaire pour mieux pointer du doigt le manque de surveillance de la part des autorités chinoises, C’est de bonne guerre, on suppose.
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