[L’idéal, c’est d’expliquer ce qui peut l’être, avec bienveillance, même quand ça prend du temps de tenter de rendre simple et intelligible ce qui est compliqué.]
La vaccination est une opération effectuée suite au consentement « libre et éclairé » du commun. Ce dernier se retrouve alors submergé de vocabulaire spécialisé, de statistiques et d’avis contradictoires venants des médecins, scientifiques et experts. Il est alors difficile pour le commun de prendre position à moins de devenir à son tour un médecin, scientifique ou expert. Serait-il avancé pour autant ? non puisqu’il aurait en face un pair d’avis différent.
Le commun face à la vaccination doit rester simple, s’en tenir à la logique et aux connaissances de niveau lycée au maximum.
La vaccination a pour finalité la bonne santé de l’individu et par extension de la population. Sa méthode est la prévention, c’est à dire qu’il est anticipé la maladie, ou autrement dit, il est présupposé qu’un individu croisera le chemin de la maladie. Son principe est l’injection d’un produit artificiel dans un corps sain afin de faire réagir le système immunitaire en simulant la maladie.
La vaccination présuppose qu’être en bonne santé est bien et que la maladie est mal.
Un bénéfice est un écart, une différence en mieux qui fait suite à une opération ou action.
Puisque par principe le vaccin s’inocule dans un individu en bonne santé, tout au moins qui n’a pas la maladie pour laquelle le vaccin est prévu alors cette opération ne peut pas donner de bénéfice car l’individu ne peut être en meilleurs santé qu’il ne l’est déjà. Par conséquent la vaccination est une opération qui est au mieux nulle sinon risquée. La vaccination est donc une opération uniquement à risques pour la santé et contredit sa finalité, à savoir la bonne santé de l’individu.
Il en découle :
- Que les promoteurs de la vaccination sont obligés de mentir et tromper le commun (il n’existe pas de bénéfice et la protection est réalisée par le système immunitaire et non par le vaccin).
- Qu’être pour la vaccination c’est être en même temps pour la bonne santé et être pour risquer sa bonne santé.
- Qu’être contre la vaccination c’est être en même temps contre la bonne santé et être contre risquer sa bonne santé.
Une chose qui se contredit n’a pas de raison d’être. Ainsi être pour ou contre n’a pas de sens. Cette idée de vaccination est à rejeter tout simplement parce que sa finalité et son principe se contredisent.
Toutes ces discussions pour ou contre ne servent qu’à noyer le commun afin qu’il ne puisse pas réfléchir simplement avec raison.
Si la propagande ne suffit pas à convaincre alors la peur saupoudrée de pathos entre en jeu, ensuite la loi s’impose aux récalcitrants. Le diktat remplace alors le consentement « libre et éclairé ».