Prétendre que la bourse ne finance plus l’activité économique, alors qu’elle à massivement financé l’explosion d’internet, la technologie qui à été le plus rapidement adopté dans l’histoire, avec des centaines de milliards investis et qu’aucun Etats n’auraient pu se permetre, ca me fait doucement rire !
Il ne faut pas raconter n’importe quoi.
Les patrons français se tienent la main, mais leur entreprise n’a pas d’actionnaires français (because ISF et autres taxes). Ils savent qu’un jour ou l’autre leur systéme, ou les PDG sont des quasi fonctionnaire désigné par l’Etat, va sauter. Tant mieux, car l’Etat n’a pas à décider à la place des propriétaire qui doit être PDG et qu’elle doit être la politique de l’entreprise.
Par ailleur, vous ne semblez toujours pas comprendre ce qu’est le capital. Simplifions. Une dactylo veut se mettre à son compte, mais n’a pas de machine. Elle en loue une, disons 30€ par jour. Elle gagne x € par jour. Et bien, grosso modo, la machine est du capital et elle paye des dividendes à son « actionnaire ». N’est-ce pas normal lorsque vous pretez quelque chose à quelqu’un d’avoir en contrepartie des dividende sur cette chose ?
Maintenant son affaire marche, et elle aimerait avoir sa propre boutique et embaucher quelqu’un. Elle va à la banque, qui lui ris au nez, car elle n’a aucune garantie, et puis de toute façon les taux d’interet sont tels qu’elle ne gagnerait plus d’argent. Elle se tourne donc vers la bourse. Des actionnaires entrent dans son entreprise. Il la finance sans contrepartie, mais bien sur partage avec elle le pouvoir. Alors elle loue une boutique, achéte des machines et embauche une collégue. A la fin de l’anné, les actionaires décident ou non de se verser des dividende, selon la santé de leur entreprise. Il n’y a rien de scandaleux la dedans. Les actionaires savent que leur interet c’est que la valeurs de leur entreprise augmente. Mais la deuxiéme année l’entreprise fait faillite, et les actionnaires perdent tout. Notre héroïne n’a rien à rembourser aux actionaires, contrairement à ce qui se passerait avec une banque. Cependant, les machines achetés pour cette entreprises existent toujours, et vont servir à une autres entreprises : malgrés la faillite de l’entreprise et la ruine des actionnaires, une partie du capital reste dans l’économie. Il sera utilisé par une autre entreprise, qui rend de meilleur service à sa clientéle que notre héroïne.