https://observatoiredumensonge.com/2021/07/26/haro-sur-les-medecins-non-alignes-derriere-letat-macron/
« »« »« »"Un décret n° 2021-964 du 20 juillet 2021
porte la trace visible de ce changement de paradigme dont la profession
toute entière est indéfectiblement liée au serment d’Hippocrate. Nous
frôlons ici le syndrome du salut fasciste des forces de l’Axe après
l’attentat du 20 juillet 1944 au
QG Wolfsschanze en Allemagne
nazie, pour exprimer une adhésion forcée des professionnels de santé à
une autre idéologie : le ralliement politique. C’est ainsi que
« La prime d’intéressement collectif lié à la qualité du service rendu » est devenu :
« la prime d’engagement collectif ».
En d’autres termes, il ne s’agit plus d’intéressement lié à la qualité
de service ou d’un objectif de production, mais d’une incitation
mentale, qui frappe du talon en résonnant au pas de l’oie, à obéir
aveuglément aux directives politiques de l’autorité oligarchique en
embuscade dans les couloirs des hôpitaux. La délation inquisitoriale
n’est donc pas éloignée, mais elle se nourrira désormais de
dénigrements, de rumeurs et de menaces.
Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !
Dans le texte susvisé,
« aux objectifs prioritaires et aux équipes porteuses d’un projet », sont ajoutés des
« indicateurs de résultats avec des objectifs précis, mesurables, accessibles et adaptés… ».
Nous plongeons en plein délire d’initiation à un ordre nouveau ! Le
médecin interniste se verra harcelé sur la façon de rédiger une
posologie de soins, et de se déplacer en rang d’oignon pour se ranger à
un ordre établi, non plus en fonction de son diagnostic et du profil
pathologique du patient. L’encadrement revêt ainsi l’uniforme politique
du moment, et en bon soldat, le praticien se verra juger sur son
comportement, d’où son engagement, non sur la qualité de service rendu.
Pourquoi publier un tel décret où il
n’apparaît aucune volonté d’exprimer une orientation à caractère
professionnel et/ou didactique ? Ni les mots
« santé », « sanitaire » ou
« déontologie »
ne figurent dans ce texte, où seul un acharnement politique s’y exprime
avec la force de mots qui impriment la persuasion par la dissuasion.
L’accent comminatoire d’une confiscation de ladite prime sera la
première sanction contre celui ou celle qui ne remplira pas les
conditions ou les obligations
« d’engagement » à l’idéologie
politique assénée par le ministre de la Santé. Nous entrons dans une ère
nouvelle, ou plutôt en réminiscence par une histoire de triste mémoire
que l’on croyait ne jamais revenir en surface. Cette idéologie qui ne se
cache même pas, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue,
mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron, autant avec
le
« passe-sanitaire », le
« QR code » et l’appli
« TousAntiCovid ».
Ces indicateurs rappellent étrangement une
discrimination entre les citoyens, non de confession, mais du libre
choix de disposer de son corps et d’accepter ou refuser des thérapies).
Cette liberté issue des droits naturels, est exprimée et inscrite de
façon inaliénable par la Constitution française, qui prend sa source
dans l’esprit et la lettre des Droits de l’homme. Si les Français ne
comprennent pas le virage autoritaire et particulièrement liberticide de
cette mandature qui gomme les derniers reliefs de notre démocratie à
l’agonie, ce sera toute notre histoire révolutionnaire qui s’effondrera
d’un seul bloc.
Mais cela ne suffit toujours pas à
l’État-Macron qui veut imposer ses directives politiques, sans devoir en
passer par l’esprit professionnel de cette catégorie médicale. Dans une
logique spécieuse, la lutte contre l’épidémie, même s’il n’ait personne
pour vérifier si elle est toujours présente ou si ce ne seraient que
des tests positifs sur des porteurs sains passant pour être la maladie,
doit en passer par la discrimination culpabilisante et pénalisante. De
fait et pour l’époque présente, trop de médecins s’opposent à la
vaccination obligatoire susmentionnée, voire ne sont pas eux-mêmes
vaccinés contre la
Covid. Devant les motifs professionnels
légitimes et scientifiques de cette profession, l’oligarchie élyséenne
vient à présent imposer son incontournable autorité en ordonnançant le
droit à son avantage exclusif, en dépit de l’intérêt sanitaire national
que les médecins ont ordinairement vocation à réserver en priorité à
leurs patients.« »« »« »"