Pertinent et concis, merci.
« si ces
virus mutants et mutés (mutatis dira-t-on au prétoire lorsqu’il
faudra rendre des comptes, peut-être) sont si virulents, comment se
fait-il que l’immense majorité des troupeaux de boucs qui se
côtoient dans les discothèques, les raves-parties, les festivals,
les métros, les campings, les plages, les bureaux, les ateliers, les
hôpitaux, et aujourd’hui les restaurants, les cafés, les centres
commerciaux, souvent en oubliant les « gestes barrières » (dont on
a exempté les usages aux braves vaccinés…), que cette immense
majorité donc ne soit pas toute entière atteinte de ce mal assassin
? »
Les adorateurs du
Mal et autres Macronistes vous répondront « parce que ! »
Pour ma part, j’ai
comme l’impression qu’il y a de grosses faiblesses dans le
scénario. Soit ils ont confondu film-catastrophe et réalité, soit
ce sont les mêmes qui ont réalisé les superproductions américaines
traitant du sujet (« Contagion », « Infecté »,
« Pandémie », « World War Z »…),
histoire de conditionner la population mondiale à croire en de
telles inepties. En même temps, quand
le PDG de Reuters siège au Conseil d’Administration de Pfizer,
tout est possible.
Seule la Suède a su
gérer dignement cette hystérie mondiale : si un virus
respiratoire provoque une pandémie aussi étendue dans le temps et
l’espace, cela signifie juste que le virus ne foudroie pas ses
hôtes et que ces derniers ont tout loisir de contaminer plusieurs
autres personnes — bref, que ce virus est bénin. (Tout l’inverse
d’un virus responsable d’une épidémie circonscrite dans le
temps est l’espace, qui terrasse ses hôtes, leur laissant à peine le
temps de contaminer une personne — sachant que le but des virus n’est pas de tuer l’hôte, puisqu’ils ne peuvent survivre longtemps en dehors, à la différence des bactéries par exemple).
Maintenant, il faut
bien avouer que si le « Club des Crétins les plus Puissants de la Planète » s’imaginent qu’ils
risquent de mourir parce que la population mondiale est trop
nombreuse, alors le pire est à craindre… ! Tous leurs
délires, toutes leurs croyances et toutes leurs peurs sont à
observer avec la plus grande des vigilances, à vrai dire.