@cettegrenouille-là
Bonjour.
Analyse impeccable :
"Même si on se imite à l’évaluation de la réponse apportée à la
gestion de la crise sanitaire pour décider de l’intelligence ou de la
bêtise des forces politiques de ce pays, (ce qui n’est déjà pas très
raisonnable), ce que vous prétendez est quelque peu réducteur et met en
relief une cécité délibérée.
Si on veut régler ce problème , et les autres, il faut rassembler
toutes les forces qui désignent correctement les adversaires du peuple
en faisant des propositions crédibles sur les moyens de sortir de cette
dictature.
Le laisser-passer sanitaire, les injonctions dictatoriales jetées à
la figure du peuple par le pouvoir, relayées par les médias aux ordres,
sous prétexte de combattre une crise sanitaire, une pandémie plus que
suspecte, ne sont, comme notre enfermement dans l’Union Européenne,
l’euro et l’Otan, que le faux-nez de la dictature de l’oligarchie
euro-atlantique, celle des labos et de Big Pharma...
/ ainsi que celle de tout un système financier bien précis.
"Nous
sommes en pleine crise financière lorsque Lloyd Blankfein, patron de la
toute-puissante banque d’affaires Goldman Sachs, fait cette déclaration au Sunday Times, en 2009. Avait-il abusé de substances pour prononcer une telle fanfaronnade ? Probablement pas.
Il
faut toujours dire les choses les plus dingues avec aplomb. Et c’est
exactement ce que fit Blankfein, allant alors jusqu’à ajouter qu’en
aidant les entreprises à devenir toujours plus riches, Goldman Sachs
faisait œuvre sociale — la richesse créé de l’emploi, on connaît la
chanson. Un numéro de cynisme de haute volée que décrypte l’ouvrage La Banque : comment Goldman dirige le monde (Albin Michel, 2010) du journaliste Marc Roche. En vrac, Goldman Sachs a, d’après celui qui a mené l’enquête, participé «
à la faillite de la banque Lehman Brothers, à la crise grecque, la
chute de l’euro, la résistance de la finance à toute régulation, le
financement des déficits et même la marée noire du golfe du Mexique. » On n’est pas très loin des douze plaies d’Egypte. Mais
si l’empire Goldman Sachs botte en touche quant au respect de la vertu
prônée par la religion, il ne rechigne pas à en reproduire les codes."
Source :
https://crowd.kisskissbankbank.com/qui-a-dit-je-ne-suis-quun-banquier-faisant-le-travail-de-dieu-4e3c6a199880
https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/ainsi-parlait-lloyd-blankfein-le-patron-mythique-de-goldman-sachs-140457
https://www.lefigaro.fr/societes/2017/11/19/20005-20171119ARTFIG00107-lloyd-blankfein-nous-avons-besoin-d-un-script-pour-le-brexit-et-vite.php
Si on n’identifie pas correctement ses ennemis, on ne se donne pas la capacité de rassembler les forces nécessaires pour s’opposer à eux et en
venir à bout."
Effectivement,
Bien à vous,
RB