@Michel DROUET

Bonjour et merci pour votre commentaire.

Cessez de penser au nazisme et mettez de côté toutes ces références qui empêchent de voir et de refuser ce qu’il se passe actuellement, en 2021, sous nos yeux, quotidiennement.

Il n’y a pas, il n’y a jamais de symbolique douteuse quand il s’agit d’événements qui entrent dans vos vies de manière tantôt insidieuse, tantôt fracassante.

Les mots comme les images ont leur charge significative, parfois dérangeante, toujours informative, qui suscite autant de réactions que d’opinions.

Vous en êtes le parfait exemple comme le montre votre réaction et le malaise qui l’accompagne, simplement parce qu’il vous est difficile d’accepter que vous avez parfaitement saisi le message symbolique d’une photographie qui vous dérange.

Il y a autre chose à faire (je vous cite) que de " se piquer de vouloir éduquer le bon peuple avec des textes savants (en leur déniant sans doute la faculté de les interpréter).« 

Lisez, voyez la qualité des contributions offertes par bon nombre de lecteurs sur ce site, sur beaucoup d’articles dont la qualité en remontrerait au »journalisme" habituel, et vous constaterez qu’il existe en France beaucoup de gens qui réfléchissent, lisent, voient, analysent, tirent des conclusions et n’ont nul besoin d’être éduqués pour interpréter ce qu’ils comprennent fort bien sans aide extérieure pour leur dire quoi penser et comment.

Voyez plutôt ce qui est en train d’advenir :

https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/20/scoop-quest-ce-que-le-great-reset-recherche-vraiment-avec-le-passe-sanitaire/

Le nazisme que vous évoquez aurait adoré cette technologie qu’il aurait mise à profit sans état d’âme, comme le fond la Chine, l’Australie, le Canada et bientôt la France.

Relisez l’histoire des relations entre le nazisme et la société Hollerith et ses machines tabulatrices.

Lisez et voyez ce qu’écrit Eroc Verhaeghe :

"On voit bien dans quel état de dépendance ce système entreprend, sans que ce projet ne soit publiquement explicité auprès des citoyens, de placer les individus. Se met en place une architecture qui rendra possible le “crédit social” à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats. 

Peu à peu, il sera marginalisé, sans possibilité de s’y opposer. 

C’est bien à cela que sert le passe sanitaire. Il n’est pas une fin en soi. Il est un début, un précédent, une mise en bouche. Vous savez désormais dans l’attente de quoi il sera maintenu après le 15 novembre. "

Renaud Bouchard