@REMY Ronald
Comment arriver à les convaincre de changer de politique pour sauver plus de vie ?
Pendant que j’écrivais La Porteuse de pluie, j’ai fait des recherches sur des sujets comme l’amiante, le graphène, les nanoparticules, l’eugénisme, la fraude statistique, etc. Cela ne se fait pas de se citer soi-même, même s’il ne s’agit pas du roman en soi mais de mes propres commentaires que j’y ajoutés à sa suite, mais bon... Au vu de ce qui se passe aujourd’hui, je ne peux que donner ce bout de texte tel quel, sans pouvoir changer ne serait-ce qu’un mot et c’est désolant :
"Les puces sous-cutanées existent et on peut les mettre à
toutes les sauces : moyens de paiement, accès sécurisés, transports
publics, santé.
Et pour terminer, la thérapie génique me terrifie autant
qu’elle me fascine, et c’est en ce moment que nos apprentis sorciers font mumuse
avec notre Terre, pour concocter un futur qui, je l’espère de tout cœur, ne
nous fera pas déchanter.
En conclusion, quoi que j’imagine, quoi que vous imaginiez,
la réalité se révélera certainement toujours plus folle que la plus folle des
fictions. Et pas besoin d’OVNI ou d’extra-terrestres, les humains se
débrouillent déjà très bien tout seuls, pour le meilleur comme pour le pire." (août 2019)
Donc pour répondre à votre questionnement, pour sauver des vies, encore faut-il une volonté de changer de cap de la part des hautes instances ? Quelle est la véritable volonté qui sous-tend tout ce qui est en train d’arriver ? Ou alors est-ce peut-être l’hystérie d’une génération qui a fait ou connu « Mai 68 » et ses conséquences, et qui ne supporte pas l’idée de sa finitude ?
Je suis tombée sur une citation de Max Deauville dans laquelle il suffit de changer deux mots : La guerre n’est que le suicide misérable d’une foule en folie. Ses remous sanglants ne servent que les intérêts de ceux qui la dirigent (1922).
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