Le fait syndical paradoxal a toujours
nourrit maints débats au sein des luttes ouvrières ou
prolétariennes depuis bien plus de 100 ans. On va pas se crisper
là-dessus. Faut faire son deuil de l’utopie d’un mouvement populaire
« puristes » futurs indemnes de toute trahison, de
socio-traitres multiformes, autant vouloir faire de la chirurgie
radicale sans mettre les mains dans le sang...
La gauche sous toutes ses formes n’est
que la gauche petite bourgeoise contre-révolutionnaire
anti-prolétarienne... du capital ! ne l’oublions jamais, n’est
que le département marketing sociétal de sa reproduction cyclique.
Bon, OK, Çà le peuple l’a compris. Bon, pas une raison pour purger
les défilés de tels ou tels drapeaux : autant vouloir
interdire aux handicapés de venir défiler avec leurs prothèses. On s’en
fou ! Le mot d’ordre est à l’unité plurielle. L’essentiel est
de ne pas les suivre, de les ignorer, d’avancer.
De toute façon, partant de Georges
Sorel et malgré Marx, tout syndicalisme ou mouvement populaire sans
grêve générale latente n’est que guerre mondiale en dentelle sans
arme atomique : une mise scène spectaculaire terroriste type
covid complaisante !.La grève générale est la seule violence
efficiente compréhensible par le capital... mais çà coûte cher
aux peuples. Faut voire le bénéfice / risque ! Et oui, les
syndicats sont là, subventionnés pour l’empêcher, pour en briser
l’élan. Bof, et alors ? les syndicats gauchisants, combien de
divisions ? Pas grand chose... Tout est donc ouvert !