@Dominique TONIN
Bonjour Dominique TONIN
Question à l’auteur : Seriez-vous prêt à faire des conférences gesticulées en binôme ?
Les différences avec le théâtre d’ombres chinoises, et les gesticulations de Maronescu sont :
Dans le théâtre d’ombres chinoises, les personnages sont des ombres projetées, par la lumière, qui sublime la forme, alliée au son et à l’histoire
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Dans le théâtre « Macronescu », la part d’ombre du personnage est inquiétante, le son est stressant, l’histoire creuse, n’est que bruit de fond éraillé !
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Dans le théâtre d’ombres chinoises, les personnages on la lumière en contre jour.
Et font travailler l’imagination des spectateurs.
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Dans le théâtre « Macronescu », seul compte le fait, de SE capter la lumière ;
Le but ultime, de tout .....étendoir à linge.... de base.
Alors, voyez vous je dirai que ces deux expériences visuelles « gesticulées » ont toutes deux leur limites.
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Le théâtre d’ombres chinoises, ne peut s’affranchir des manipulateurs à la baguette
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Le théâtre « Macronescu » ne peut s’affranchir des manipulateurs à la braguette.
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Le théâtre d’ombres chinoises , est monochrome....quoique avec des dégradés, créés par des ajours.
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Le théâtre « Macronescu » est un vide plein, dont la platitude est le seul relief.
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Perso, ...Je ne comprend ni le Mandarin, ni l’autre mandarine acidulée.
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Alors, un théâtre de gesticulateurs précoces, pourquoi pas.
Mais à la condition sine qua non, qu’ils s’inspirent du mime Marceau !