@Captain Marlo Non ce n’est pas pour cela que le PRCF a refusé.
Nous ne sommes plus après la guerre où le PCF du fait de sa force n’avait rien à craindre d’incorporer quelques membres de la droite nationaliste.
Aujourd’hui ce n’est plus pareil et les personnages de droite auxquels vous faites la cour ne sont pas des gens fréquentables du fait de leur xénophobie.
Il y a une ligne rouge à ne pas franchir et si au CNR il y a eu des membres de l’action française c’était dans des proportions infimes
par rapport au premier parti de France à la Libération et qui dominait
le CNR, un PCF marxiste-léniniste et qui pouvait compter sur
l’appui d’une puissance Confédération générale du travail (CGT) qui
s’inscrivait alors, sous la direction de Benoît Frachon, dans la logique
d’un syndicalisme de classe et de masse.
Ainsi la « soiréé Brexit » où Fabien Roussel, Ian Brossat,
Jean-Luc Mélenchon, Adrien Quatennens, Nathalie Arthaud, Marine Le Pen,
Thierry Mariani, Jordan Bardella, Nicolas Dupont-Aignan, François
Fillon, Éric Brunet, Thierry Ardisson, Natacha Polony, Emmanuel Todd,
François Boulo, et l’historienne Annie Lacroix-Riz étaient invités
Le RN ne ferait, le moment venu qu’une bouchée de tels « souverainistes »
Saugrenu... Asselineau en oublie même que Ian Brossat a déclaré« pour ce qui concerne les
communistes [NDLR : du PCF], nous ne sommes pas favorables à une sortie
de l’Union européenne » ; que François Fillon juge « fondamental » de
« préserver cet acquis » qu’est la construction européenne, « qui a
produit des succès immenses » ; que le prétendu « Rassemblement
national » a abandonné l’idée – à laquelle il n’a d’ailleurs jamais cru –
de sortie de l’UE, se félicitant d’avoir enfin établi, lors des
élections européennes « un vrai projet européen, solide », et renonçant à
« renouer à terme avec la souveraineté monétaire », ce qu’a
justement provoqué le départ de l’opportuniste Florian Philippot