’’La science n’est pas du côté de ceux qui prônent la vaccination de tous, car ils lui préfèrent le scientisme ’’
Et à la médecine d’hippocrate et de Galien et de Laënnec, ils préfèrent l’EBM (Evidence-Based Medicine traduit par médecine fondée sur les faits, ou plus exactement les données épidémiologiques),
née dans les années 1970 au Canada, caractérisée par, disent-ils « l’utilisation
consciencieuse, explicite et judicieuse de la meilleure preuve du moment
pour la prise de décision liée à la prise en charge des patients »
L’EBM est une méthodologie qui renvoie aux essais randomisés en
double aveugle, et qui s’oppose aux études observationnelles telles
celles que mène à l’IHU de Marseille le Pr Didier Raoult entre autres.
L’EBM est contestée en infectiologie, et pour
causes ; Mais dans un système de santé systémiquement corrompu comme le
notre, c’est la méthode privilégiée, pour ne pas dire la seule, et pour
une raison simple : elle est très facilement falsifiable.
Falsifiable ici ne doit pas être pris au sens popperien lequel ne
concerne que les théories. Falsifiables ici ça veut dire : que l’on peut
aisément faslifier ; ou plus précisément, dont on peut aisément
falsifier les données et par conséquent les conclusions.
Paradigme : Selon ses fondateurs, David Sackett (en), William Rosenberg,Muir Gray (en), Brian Haynes et Scott Richardson, la médecine fondée sur les faits conjugue :
— L’expertise du clinicien.
— Le patient. « ainsi que par la prise en compte — avec compassion — des droits, des préférences et de l’épreuve vécue par le patient dans les décisions concernant son traitement. »
— Les meilleures données cliniques externes.
Ce n’est pas tant l’EBM qui est en cause ici que l’instrumentalisation qui en est faite par la Doxa covidienne corruptrice, qui ne retient qu’un seul paramètre : Les données cliniques externes.
Or, en matière vaccinale, et à fortiori, d’expériences de nouveaux types de traitements non abouties, les données sont tout ce qu’on veut sauf fiables : pas essais randomisés en
double aveugle
!!!
nb. « Par données cliniques externes, nous entendons les recherches pertinentes sur un plan clinique, souvent issues de la recherche médicale fondamentale, mais surtout des recherches cliniques sur les tests diagnostiques centrés sur le patient (y compris les examens cliniques) les plus exacts et précis, sur la puissance des marqueurs pronostiques, et enfin sur l’efficacité et l’innocuité des schémas thérapeutiques, de réadaptation et de prévention
ps. Pour se détendre, et puisqu’on parle de preuves : Vidéo de mise en scène de la dangerosité d’un virus que l’on soignait très bien et depuis longtemps avec des médocs à 2 balles