@Eric F

Si je vous comprends bien, les piqûres auraient mis fin à l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues qui était présente à ce moment là.
Ça pourrait être une explication pour les plus de 50 ans qui ont été vaccinés en janvier, pour les autres vaccinés en février, puis mars, c’est moins plausible car les contaminations étaient en baisse depuis le 14 janvier. Et comme Décoder l’éco, je n’ai pas évoqué les plus de 50 ans.
Cependant, vous n’avez pas forcément tord. Le doute est permis car on ne sait pas quand les contaminations et/ou les hospitalisations ont baissé pour chaque tranche d’âge.

En résumé, on ne sait pas si les injections ont arrêté une épidémie montante ou si elles ont tué des gens. Mais une chose est sûr, c’est qu’il y a eu des morts anormaux.

Piqué au vif, je viens de jeter un œil sur les courbes de mon site fétiche : https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps
Il y a peut-être une relation pour certains pays et certaines tranches d’âge, mais aucune généralité. Peut-être que là aussi, on est dans l’excès. S’il existe une relation, elle est trop fine pour se voir comme ça. Il faudrait creusé plus profond et disposer de chiffres plus sûrs, ce qui n’est généralement le cas, qu’après des mois de traitements. De plus, les témoignages qui remontent, nous disent que les victimes du vaccins agonisent lentement pendant quelques jours ou quelques semaines. Peu décèdent le jour même.

Notre ami Décoder l’éco s’est peut-être remis au travail pour trouver d’autres relations de ce genre. Mais je crains qu’on ne puisse être aussi précis. Mais j’attends la suite avec impatience.

En tout cas, à mon sens, même si c’est une statistiquement marginal, il est extrêment malheureux de mourir ou de se retrouver handicapé à 20 ans... Et surtout pour d’aussi mauvaises raisons que l’illusoire immunité collective ou la peur du virus ou pire encore : pour vivre normalement et ne pas être montré du doigt par les autres.