L’article semble souligner la volonté politique d’imposer des traitements onéreux en retirant (sous des prétextes fallacieux) du marché des médicaments éprouvés et nettement moins rentables, mais à mon sens, il ne met pas assez les points sur les I .
Il faudrait par exemple insister lourdement sur le fait que toutes les plantes utilisées en médecine avant la chimie avaient des effets potentiellement dangereux ou bénéfiques suivant la posologie et le mode de préparation. Il en va de même pour les médicaments éprouvés comme la chloroquine et l’ivermectine, puisque les praticiens ont appris à l’usage comment les doser au mieux . La mauvaise foi des études visant à les classer comme dangereux n’en est que plus évidente .
Il n’insiste pas assez non plus sur la dangerosité potentielle (dont les preuves commencent à sortir malgré le rideau de fumée de la censure) des injections imposées comme unique solution ( un autre adjectif pour solution me venait à l’esprit ).
Il est assez stupéfiant de constater que des personnes suffisamment éduquées pour avoir une opinion sur les pratiques médicales dévoyées des « médecins » du régime nazi et conclure après étude de documents que ceux-ci ont pratiqué des expérimentations tellement insupportables que le code de Nuremberg a été rédigé pour les interdire ou les réglementer sévèrement, de constater donc que les mêmes personnes (ou la même catégorie) refusent de prendre en considération la possibilité que ce qui a été commis puisse l’être à nouveau .
Nous sommes pourtant bien dans le cadre de produits expérimentaux, dont l’impact à long terme (dix ans minimum) sur la santé ne peut être déterminé en cas d’utilisation sur un grand nombre de personnes, dont l’injection est imposée par coercition, en empêchant par tous les moyens une analyse indépendante et en cachant aux éventuels cobayes leur statue de cobaye justement .
Il est à noter également que ne figure plus depuis pas si longtemps dans le texte du serment d’Hippocrate la mention pourtant utile « avant tout ne pas nuire ».
Quand à la liberté essentielle qui serait le droit au suicide, quelle hypocrisie ! Nous en disposons déjà, Mr le conseiller des présidents, par contre l’euthanasie ouvrirait la boite de Pandore des éliminations physiques bienvenues et profitables, l’humain étant notoirement sensible à la corruption .