Que Zemmour soit remercié , d’avoir sorti , les hommes politiques Français de leur hibernation, qui par lâcheté ont dormi les yeux fermés pendant des décennies et viennent seulement de se rendre compte , grâce au clairon d’Eric Zemmour que les flux migratoires incessants et l’islamisation de la France sont un fait indéniable.
Aujourd’hui , tous ,grâce a Eric Zemmour , courent comme des dératés , sur ses thèmes « l’immigration et l’incompatibilité de l’islam avec la démocratie » tout en le critiquant d’avoir raison avant eux.
L’immigration est due aux échecs des politiques des dirigeants Arabo-musulmans, incompétents et corrompus, qui poussent leurs compatriotes à fuir , pour avoir moins de bouches à nourrir , à soigner , à loger et à éduquer. En retour , ils bénéficient des devises du transfert d’argent vers leur pays de ces mêmes immigrés.
Quant à l’islam, oui , en tant que religion, il est incompatible avec la démocratie , d’ailleurs sur les 57 pays musulmans regroupés dans l’OCI , aucun n’est démocratique. La démocratie c’est la séparation des trois pouvoirs, Exécutif , Législatif et Juridique.
Les musulmans de France , ne viennent pas de la planète Mars ,mais sont issus de pays musulmans et nés dans des familles musulmanes , élevés dans la religion et le respect du « zaïm » . La démocratie est un concept occidental.
<< Le rapport entre le politique et le religieux , détermine en fait la configuration de ce que sera le futur de la démocratie dans le monde arabe . Et nous ne pouvons pas avoir une démocratie si on ne sait pas séparer la religion et le politique ce qui est difficile en islam. Parce qu’ il y a une tradition historique , mais également une structure de pensée et une organisation du savoir qui font que c’est difficile de séparer les deux . Les musulmans conçoivent leur religion comme étant une religion civile , aujourd’hui encore >> Yadh Ben Achour , professeur en droit public et philosophie du droit , spécialiste des idées politiques de l’islam.
Ce professeur tunisien , est même pessimiste sur la possibilité de concilier droits de l’homme et pensée islamique , en l’état actuel des sociétés à majorité musulmane, et malgré la diversité qui prévaut au sein du champ intellectuel que l’on qualifiera de « musulman ».