@Michel Drouet,
Bravo de la part d’un autre retraité et qui a eu aussi un rôle de management dans un domaine très spécifique de ce qu’on appelle aujourd’hui « numérique » .
Tout est dit ou presque auquel j’ajoute :
1. La recherche du prix minimum du consommateur.
2. L’obligation d’exporter parce que la consommation local ne pourrait pas absorber les surplus de production.
3. La recherche de la rentabilité maximum ;
4. Les machines et les robots qui ont remplacé la main d’œuvre (d’où le point 2).
5. Les pourboires (les dessous de tables, l’argent défiscalisés et le blanchiment d’argent). Exact. Pour y remédier le remplacement de la monnaie et des billets par l’utilisation de cartes bancaires et du transactionnel dans tous les échanges pour laisser des traces.
6. La vie moderne, la vie facilité par tout ce qui est disponible, tout simplement
7. Dernièrement, quelqu’un parlait de dévaluation. Oui, pour relation la machine qui s’enraie. Cela sous entend augmenter les échanges internationaux pour être plus complétif. Mais cela engage évidemment des conséquences sur le pouvoir d’achat.
8. Faire tout localement. Réinstaurer des entreprises qui cherchent ce qu’ils ont besoin pour produire. Mais en combien de temps, serait ce possible.
9 Un changement de paradigme ne se fait pas aussi facilement. Les Etats ont des dimensions totalement différentes et des potentiels tout autant.
10. L’éducation n’est pas une norme constante à travers le monde.