Il n’y a pas en fait de différence fondamentale entre le monde d’avant et celui de maintenant, il y eu une époque par si lointaine (45 ans environ) où une France industrialisée générait du profit et maintenant le profit est de faire produire nos consommables dans des pays à faibles coûts salariaux, mais c’est toujours le même jeu économique.
Le profit reste un concept si on oublie qu’il y a des escarcelles dans lesquelles ils tombent
Le profit est le mot clef, il raisonne sur le court terme, se fout complètement des besogneux qui sont une variable d’ajustement, comme de même il s’en tamponne le coquillart de l’environnement, à croire que les puissants, une fois leur journée de profit réalisée, monte dans leur vaisseau spatial et retourne sur leur planète-jardin préservée.
De deux choses l’une, soit nous essayons de changer la donne en appliquant les mêmes recettes que celles qui ont court actuellement et nous nous autodétruirons, psychologiquement c’est sûr et concrètement c’est sûr aussi mais ce sera plus long, soit pas un réveil inespéré des consciences, nous créons un mode de penser et un art de vivre fondamentalement différents basés sur la solidarité (collaboration, entraide, partage).
La minorité des puissants a une peur panique d’une prise de conscience de la multitude, c’est pour cela entre autres, sans oublier les laissés pour compte, qu’il y a tant de disparités entre les conditions de vie d’un smicard qui doit s’estimer heureux d’avoir un job et les mirobolants salaires des mieux lotis, les uns comme les autres ne se rendent pas compte qu’en fait ils sont du même bord – voilà quelque chose de difficile à percevoir et à admettre.
La prise de conscience se fera difficilement tant la pseudo pandémie qui ‘tombe miraculeusement à pic’ a fait de la multitude des décérébrés, un vrai travail de sape que ne réalisent plus ou mal les religions officielles ainsi que les autres idéologies (communisme, écologie, scientisme, etc),