Rakoto
fait de la science artistique.
Après
avoir lu l’article des chercheurs toulousain, il y a un traitement
bizarre du contenu rapporté par Rakoto-la-science.
Au
deuxième paragraphe il est possible lire (même en anglais...)
"
Du 10 juin 2020 au 10 juillet 2020,
soit 1 à 2 mois après la fin du confinement en France, toutes les
personnes travaillant à l’hôpital universitaire de Toulouse (n = 16
571) ont été invitées à participer au dépistage des anticorps
sériques totaux au moyen du kit ELISA (enzyme linked immunosorbent
assay) fourni par Wantai (Beijing Wantai Biological Pharmacy
Enterprise Co., Ltd, Chine)...."
D’où
sort-il ses dates ? Il est vrai que la Dépêche du Midi de Toulouse
a étendu derechef la date à juillet 2021. Une erreur de frappe est
si vite arrivée surtout dans ce chiffon. Peut-être aussi sur RTnews
qui a recopié les mêmes âneries.
D’autre
part, l’étude ne parle que de pourcentage et jamais de quantité
d’anticorps en BAU/ml d’où ces valeurs sortent-elles ? Rakoto-la
science pourrait nous instruire, non ?
Enfin,
Il nous sert savamment une histoire, au conditionnel, du chemin
parcouru par la spyke dans un corps infesté, lisible sur le site de
l’ANSM avec les mêmes erreurs. Car une cellule infestée, c’est pour
les niais. Le corps humain en est réduit à… ça.
Rakoto-la-science
pourrait aussi nous dire ce fait la spike une fois les organes de
défense de l’organisme infesté par cette toxine, non ?
Sans
doute, ira-t-il consulter la commission anti-fake de Macron pour nous
en raconter de bien bonnes, n’est-ce pas ?