Il me semble que la question n’est pas dans la dislocation des partis, PS ou LR, qui ne sont que des apparences à mon sens. Ils renaitront dés qu’un personnage politique d’envergure pourra incarner ces mouvements.
Si on analyse les villes de plus de 100.000 habitants en 2020 municipales :
— LR 17
— PS 12
— DVG et Radicaux 4
— DVD et UDI 4
et
— LREM 2 !
— ELLV 2
— LFI 0
Pour les régionales idem PR et PS existent toujours !
Cette apparente disparition de la gauche socialiste et de la droite bonapartiste, gaullienne n’est qu’une apparence. Ces partis sont des partis de notables et ils sont encore là. Contrairement à ce que l’on croit, ce n’est pas le parti qui choisi son candidat, le PS en a fait a démonstration avec Hamon, c’est le candidat incontestable qui est soutenu par un parti.
La médiocrité des candidats de ces partis traditionnels, qui a commencé avec Hollande, et visiblement elle va continuer dans la division et les querelles d’egos de seconds couteaux. Macron a profité de ce désert pour faire sa place et cela va continuer ...