La dette de l’état est l’arbre qui cache la forêt du racket organisé par ce nouveau féodalisme qu’est le capitalisme financier en train de se mettre en place : les chefs de guerre (économique) sont les investisseurs financiers, cependant que la chair à profits tient lieu de chair à canons. Les trésors de guerre sont les actions, ces droits à percevoir des dividendes sur toute la production mondiale via le système de sous-traitance organisée par les multinationales. Ce système n’est ni plus ni moins qu’un système mafieux qui ne dit pas son nom.
Une dette est dite odieuse quand elle est contractée par une dictature à l’encontre de l’intérêt public, et avec la connivence des créanciers.
Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la France
https://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131115.OBS5654/mais-pourquoi-voulez-vous-payer-vos-dettes.html
Qu’est-ce que la dette ? Une approche anthropologique et historique. par David Graeber, anthropologue états-unien.
« Le capitalisme entre dans sa phase sénile » Le volume des transactions sur ces marchés est de plus de 2 500 000 milliards de dollars, alors que le PIB mondial est de 70 000 milliards de dollars. Samir Amin : « La pensée économique néoclassique est une malédiction pour le monde actuel. » Samir Amin, 81 ans, n’est pas tendre pour plusieurs de ses collègues économistes. Et encore moins pour la politique des gouvernements. « Économiser pour réduire la dette ? Des mensonges délibérés » ; « Régulation du secteur financier ? Des phrases creuses. » Il nous livre son analyse au scalpel de la crise économique. (revue Solidaire)