@Ben Schott
’’Le vaccin n’évite pas le risque de contracter le virus’’
Le risque de contracter la maladie est plus élevé dans les jours qui suivent l’injection, diminue pendant quelques semaines, puis redevient plus élevé ensuite. Le bilan est favorable semble-t-il pour les personnes âges, défavorable en dessous, et dramatiquement négatif à mesure qu’on est plus jeune.
Cette perte d’immunité au bout de quelques mois explique que, en vertu du principe criminel de ne jamais manquer une occasion de se prévaloir de ses turpitudes, ils déclarent qu’un rappel est indispensable. Avec probablement pour les piqués, l’entrée dans un cercle vicieux de descente aux enfers.
C’est ainsi que dans un passé pas très lointain, on pratiquait des saignées à des personnes anémiées, ce qui les envoyait direct dans la tombe, avec le diagnostic de pneumonie..
« Tout au long du 19e siècle, la plupart des médecins occidentaux en étaient de fervents adeptes et elle était encore recommandée pour le traitement de la pneumonie dans un livre médical datant de 1942. »
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Un médecin aussi célèbre qu fou furieux, Benjamin Rush préconisait le prélèvement de jusqu’à 80 % du sang de
ses patients. Robert North dit se rappeler qu’« une telle quantité de
sang était déversée dans la rue qu’elle en était infestée de mouches et
qu’il y flottait une odeur répugnante ».
Rien de nouveau sous le soleil, sinon un facteur d’échelle considérable : il n’y a jamais eu de saignodromes malgré ce qu’en disait. Robert North !