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Commentaire de Francis, agnotologue

sur Covid-19 : 5 millions de décès dans le monde et la 5e vague en France ?


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Francis, agnotologue Francis, agnotologue 31 octobre 2021 09:18

@zygzornifle
 
 ’’Certains veulent supprimer le RSA aux non vaccinés, bientôt les retraites aussi,’’

 

 Le jour où ils feront ça, nous devrons exiger des ex parlementaires et autres retraités nantis de la République, qu’ils produisent publiquement un certificat vaxxinal dument authentifié.

 

Aux USA, ils commencent à vaxxiner à partir de 5 ans.

 

Sur les 121 morts de moins de 21 ans identifiés aux États-Unis, 45 % étaient hispaniques, 29 % noirs et 4 % amérindiens ou natifs d’Alaska, selon ce rapport qui couvre la période février-juillet. Ces minorités représentent 41 % de la population de cette classe d’âge.

 Autrement dit, ils vont injecter ces poisons à 40 millions d’enfant, soit à 330 000 pour peut-être sauver une vie.

 

 Combien de dégâts sont prévisibles sur une population de 330 000 enfants empoisonnés ?

 

« Méthodologiquement, et déontologiquement, il faut maintenir les hypothèses psychiatriques dans un statut d’ultime recours quand il est question de politique, et ne se tourner vers elles qu’après avoir tout essayé. Au point où nous en sommes cependant, observant Macron, Griveaux, écoutant le défilé ininterrompu des députés LREM sur les chaînes d’information continue et les chiens de plage arrière qui font « oui oui » en leur passant les plats, on cherche en tous sens, et surtout en vain, ce qui pourrait nous sauver de ce dernier recours. Après avoir épuisé toutes les explications alternatives, il va falloir s’y résoudre ; ces gens sont complètement fous. » Texte emprunté à FL

 

 Ce sont les dignes héritiers des inquisiteurs de triste mémoire.

 

Quelle était la pratique judiciaire ? L’inquisiteur émanait « l’edictum fidei » et demandait aux fidèles de dénoncer n’importe qui soupçonné d’hérésie, d’entretenir un commerce « avec le diable » ou de posséder des livres interdits. Le présumé coupable était capturé séance tenante alors que pour les personnes de haut lignage, un ordre de comparution leur était envoyé. Les officiers et les membres du Saint Office veillaient à obtenir des preuves et témoignages de culpabilité. Le notaire procédait à l’inventaire des biens du présumé coupable qui étaient immédiatement séquestrés et gardés en dépôt. Le premier interrogatoire de l’accusé, les témoins et la reconnaissance des lieux marquaient et concluaient la phase du procès informatif pour ensuite s’ouvrir à celle défensive avec de nouveaux interrogatoires. Le déroulement procédural était sous le couvert du secret. Les accusations et les témoins étaient, eux aussi secrets et même les informations recueillies pendant la confession pouvaient être utilisées. Les sentences étaient sans appel, sans possibilité de seconde instance de jugement, même si continuellement demandées ainsi que l’abolition des témoins secrets. Les inquisiteurs justifiaient leurs verdicts seulement devant la cour Suprême. La torture était l’instrument pour atteindre la preuve définitive de la culpabilité. Grâce à elle, on arrivait à la sentence : absolution (avec plein acquittement ou « ad cautelam ») qui était par la suite suivie par l’auto da fé.


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