@suispersonne
"Pourtant, après avoir agoni Ubuntu comme étant un véritable « cancer », microsophte inclut ce logiciel libre dans ses options => cela ne peut qu’inquiéter les utilisateurs, parce que ce genre de manip n’est jamais sans une bonne raison malfaisante« 

Il y a bien des années qu’après avoir débuté sur Mandriva, je suis passé sur Debian, avec un bureau Xfce4, après avoir essayé Kde et Gnome (dont la version 2 était géniale).
Xfce4 est une interface graphique des plus classiques mais qui reste facilement configurable dans à peu près tous ses aspects, ce qui me permets depuis des années d’avoir gardé sur plusieurs ordinateurs successifs le même environnement de travail (bureau, barres des tâches, menus, vignettes, raccourcis divers, ...).
Quant à Microsoft, la dernière version sur laquelle j’ai eu l’occasion de travailler était, après XP, Windows 7. J’ignore donc absolument ce que c’est devenu depuis, et ne m’en préoccupe pas !

PS : Ubuntu n’est pas un logiciel, mais une distribution GNU-Linux parmi bien d’autres (Debian, Arch-Linux, Mandriva, Fedora, Red Hat, ...). Les distributions GNU-Linux reprennent un noyau Linux, l’environnement de base GNU pour y accéder, un environnement graphique à choisir (Xfce4, Kde4, Gnome, ...) et une bibliothèque logicielle permettant d’opter pour un large choix de programmes en tous genres (toutes les mises à jour logicielles sont donc centralisées) et où trouver son bonheur, ...
Seuls les »gamers« passionnés ont en fait encore intérêt à rester sous Windows, du fait que la plupart des jeux — tout comme la plupart des virus — ne sont développés et optimisés que pour exploitation sous Windows, et que même les émulateurs Windows sous Linux (Wine, ...) n’en prennent qu’une petite part en charge.
La plupart des distributions sont d’accès gratuit et proposent essentiellement des logiciels sous licence »Open Source« (ce qui offre l’accès au code source et permet le cas échéant de le bidouiller et de le modifier en toute légalité, pourvu que la publication des modifications effectuées reste sous licence »Open Source« ).
Pour les débutants, Linux Mint et Ubuntu sont conseillés, même si je n’aime pas l’interface graphique proposée par défaut sur Ubuntu. Tant pour les débutants que pour les utilisateurs les plus chevronnés, une très large documentation est disponible et accessible sur internet.
Pour ne pas trop rompre d’emblée avec les réflexes Windows, je suggère à ceux que la transition intéresse de commencer avec un environnement graphique et un bureau Kde4. Il est possible de s’initier en installant Linux sur une machine virtuelle (Virtualbox, ...), d’installer Linux à côté de Windows (mais il faut pour cela dégager de la place pour installer de nouvelles partitions) pour choisir sur quel système d’exploitation amorcer (dual boot, généralement via Grub2), ou encore d’installer une version Linux sur une clef usb amorçable, ...

 »C’est en forgeant qu’on devient forgeron« , et il faut un certain temps — dépendant de chacun — pour se familiariser à GNU-Linux, mais l’effort vaut très largement la chandelle, plus encore si on préfère l’aspect collaboratif à l’aspect compétitif, ou tout simplement si on s’intéresse à l’informatique et à »comment çà marche" sous le capot, ...
Mon ex-compagne, qui n’a rien d’une informaticienne et ne se soucie que d’efficacité pour ce qu’elle veut faire, ne veut depuis déjà bien longtemps (au moins une douzaine d’années) plus entendre parler de Windows.

Encore un dernier détail : les pilotes (drivers) de certains équipements (notamment certaines cartes Wi-Fi, ... ne sont parfois développés que pour Windows, ce qui peut poser problème avec certains pc ou portables).

Avis aux amatrices et amateurs !