Je défie quiconque de me donner le numéro, et la date de parution au Journal Officiel, du décret d’application concernant l’obligation d’une dose de rappel contre le Covid -19, et de l’annulation du passe sanitaire à compter du 15 Décembre 2021, pour ceux qui, pourtant totalement vaccinés, refuseraient de se soumettre à cette nouvelle injection !
Pour l’instant, ce ne sont que de vaines palabres entre les pour et les contre du Sénat et de l’Assemblée Nationale, et les débats sont plutôt houleux !
Il semblerait que le « Roi Soleil » se prenne pour le descendant de Louis XVI, et je pense que ça commence à sentir pour lui une forte odeur de guillotine !
De toute façon, vu que je suis vacciné avec Janssen & Janssen ( vaccin traditionnel uni-dose destiné aux personnes âgées affectées de co-morbidité, ce qui est mon cas ), je ne ferais injecter une dose de rappel qu’à deux conditions :
1°) A partir de la date de parution au Journal Officiel de ce fameux décret.
2°) Avec un vaccin traditionnel comme Astra-Zeneca, qui est agréé par l’Agence Européenne des Médicaments, ou avec Sputnik-V, Sinovac, ou Sinopharm, si cette agence ( qui n’est européenne que de nom ) se décide enfin à travailler pour la Santé, et non pour défendre les actionnaires des laboratoires Pfizer ou Moderna !
Si c’est la Royauté qui l’emporte ( ce qui ne m’étonnerait pas, vu le niveau intellectuel des participants aux votes, ces derniers temps ), je ferait la bringue chez-moi, pour Noël et le Jour de l’An, mais jamais je ne servirai de cobaye bénévole non rémunéré, et à l’insu de mon plein gré, pour enrichir les actionnaires de ces deux laboratoires américains, qui voient cette dose de rappel annuel comme un véritable jackpot, et qui se foutent totalement des conséquences, puisque les contrats qu’ont signé les acheteurs européens précisent qu’aucun recours ne pourra être envisagé, même en cas d’effets secondaires graves !
S’ils ont envie de se frotter aux avocats d’affaires américains, je leur souhaite bon courage ! ( il faut toujours lire les petites lignes, avant de signer un contrat, surtout rédigé par « ces amis qui nous veulent du bien » ).