@Jean Keim
C’est un fait bien connu que le pouvoir rend fou. Le fait que celui qui y accède est déjà bien atteint, c’est sûr ça n’arrange pas les choses.
Ce qu’il faut c’est des garde-fous, donc des contre-pouvoirs.
Dans une moutoncratie libérale, c’est le pouvoir conjoint des médias et de l’argent qui sont prépondérants. Et ce pouvoir est devenu fou.
« Alain
Minc croit à l’économie de marché. Il croit au capitalisme, à sa
capacité de mouvement et de renouvellement. Seulement voilà : une
société de marché ne suppose pas, à ses yeux, l’argent-roi. Le
capitalisme ne porte pas nécessairement en germe l’argent-parasite. La
dynamique d’une économie moderne n’exige pas des inégalités de
patrimoine insupportables. Un jour, prévient-il, la réaction viendra.
Elle sera d’une brutalité à la mesure de la naïveté d’aujourd’hui. Et,
ce jour-là, le débat reprendra, absurde à nouveau, sur la légitimité du
capitalisme. Devancer ce débat, conjurer le déferlement de l’argent fou,
tel est le propos de ce livre. Avec en filigrane cette idée simple : si
notre capitalisme ne se dote pas très vite de règles, s’il s’avère
incapable de contrebalancer par une éthique la religion de l’argent, la
France pourrait bien finir par ressembler davantage à une société du
tiers monde qu’à un pays réellement développé. Réinventer la « vertu »
pour entrer dans le XXIe siècle. »
Nous y sommes.
Les milliardaires qui ont fomenté le Grand Reset l’ont fait dans l’optique de conserver leur pouvoir menacé par l’effondrement et ou la défaite du Capitalisme.
Autrement dit, ce sont les fous au pouvoir qui préparent le NWO.