"Le pouvoir, le vrai, St Martin nous l’a montré, le vrai pouvoir est
celui qui libère, comme le fait le saint après avoir réconforté le
pauvre homme froid.«
Merci pour cet hommage au vénéré Saint Martin, dont le geste de solidarité humaine a su transcender toute forme d’hiérarchie ou de discrimination, au point que sa mémoire nous en a été précieusement transmise comme un archétype.
Plutôt qu’envisager le pouvoir selon des catégories morales qui en discerneraient le »vrai« du »faux« , ne conviendrait-il plutôt d’en envisager la pertinence selon l’éclairage moral de l’autorité qui le fonde, ou pas ???
Vrai qu’à l’heure où pour marquer nos corps et la qualité de nos relations sociales et professionnelles, l’univocité de la doxa sanitaire et »vaccinale" s’efforce par ses sophismes et ses articles de foi de se substituer en les occultant aux résultats de toute authentique démarche relevant de la méthodologie scientifique, les questions tant du pouvoir que de l’autorité sur laquelle il se fonde participent quotidiennement de notre plus brûlante actualité !
Car s’il est bien vrai que le pouvoir ne requiert nul consensus pour — même de la plus brutale des manières — s’exercer sur nos vies, il en va bien différemment de l’autorité qui le fonde et qui ne pourrait quant à elle se maintenir bien longtemps sans un consensus minimal sur sa pertinence.
Ainsi naissent, vivent et meurent empires et civilisations, ... ce qui — en regard de l’état avancé de décadence caractérisant présentement la nôtre — ouvre paradoxalement tant au plus sombre des avenirs qu’à son dépassement pour un inconnu riche des espoirs les plus variés !
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! 