@voxa
Assurément non, puisque toute décision concernant la Covid est classée secret défense pour 50 ans.
Certes, ce qui conforte et signe d’autant plus le crime car les cafards ont horreur de la lumière, comme toutes la vermine qui se précipite dans l’ombre lorsque l’on soulève la dalle.
Mais voilà, il se trouve que ce que la (pseudo) loi peut faire, la vraie loi peut le défaire et ordonner la déclassification et la production de documents.
Et peu importe que ces documents (processus de fabrication, essais, contrats de vente etc.) disparaissent entre-temps ou soient détruits, puisque l’on peut imaginer qu’un pays comme la France, avec de nouveaux dirigeants et qui s’érigerait en Cour pénale internationale avec des juges internationaux et nationaux intègres (cela existe, j’en connais) ne manqueraient pas de recevoir des centaines de milliers d’informations précises, de témoignages, de documents soigneusement collationnés sur internet (une mémoire fidèle que cet Internet...) ou mis de côté par des lanceurs d’alerte ou des milliers de gens que tout cela révulse et qui, le moment venu, contribueraient à la manifestation de la Vérité.
Esy-il besoin de vous préciser que si j’étais aux affaires je procèderais à l’arrestation immédiate des têtes de dragon et de serpent qui ne manqueraient pas, pour tenter de se disculper, de livrer d’autres noms, d’autres complices, d’autres auteurs et surtout d’autres commanditaires, comme ce fut le cas dans tous les grands procès criminels internationaux depuis 1945, de Nuremberg à Tokyo, de la Yougoslavie au Soudan, au Congo, à l’Ouganda, même si existent de sérieuses difficultés guidées par l’opportunité politique Mamdani Mahmood, Dubois François-Ronan, « La logique de Nuremberg ne s’applique pas à l’Afrique », Multitudes, 2017/4 (n° 69), p. 189-197. DOI : 10.3917/mult.069.0189. URL : https://www.cairn.info/revue-multitudes-2017-4-page-189.htm
Mais n’ayez crainte. Les bulles remontent toujours à la surface, comme les cadavres de noyés.
Bien à vous,
Renaud Bouchard