- Claire Nouvian
Ce qu’on lit dans la presse ce matin
« Claire Nouvian raconte, elle, avoir été mise en garde, avant le
tournage d’un reportage réalisé avec Nicolas Hulot en 2008, afin qu’elle
évite de se retrouver seule avec lui. L’animateur n’a pas eu de gestes
déplacés pendant le tournage de cet épisode d’Ushuaïa, relate-t-elle. A
une autre occasion, « il a quand même essayé de m’embrasser »,
ajoute-t-elle, évoquant « un dysfonctionnement dans ses rapports aux
femmes » »
Ce que j’ai retenu de l’émission.
La réputation de dragueur de NH était connue de tous, à tel point que
certains jugeaient utiles de sensibiliser « les nouvelles » femmes
travaillant avec NH. Mais il ne sautait quand même pas systematiquement
sur tout ce qui porte jupon puisque Mme Nouvian confirme un travail
assez long de tournage ensemble sans aucun geste déplacé. Certes
ulterieurement « il a quand même essayé de m’embrasser », sans préciser
les circonstances. Y a-t-il eu a ce moment une attitude pouvant être
comprise comme un encouragement, l’histoire ne dit pas oui, mais pas non
également. Toujours le dragueur qui tente sa chance mais toujours pas
de viol.
EN CONCLUSION, comme déjà indiqué,
l’attitude d’un coureur de jupons, dragueur, parfois un peu lourd,
usant sans doute largement de son image et de sa notoriété pour tenter
de séduire, d’un homme des aventures d’un soir, collectionnant les
femmes,
mais clairement dans ces pratiques, rien de répréhensible pouvant conduire devant un juge : dossier vide concernant un VIOL
NH devrait remercier « Envoyé spécial » d’avoir aussi bien défendu sa cause.
Que certaines femmes n’aiment pas se faire draguer, qu’elles trouvent
un peu lourdes, agaçantes, les pratiques de certains, c’est
acceptable. Mais est-ce réellement « un dysfonctionnement dans ses
rapports aux femmes » quand un homme « tente sa chance » après avoir
pris l’attitude d’une femme comme un encouragement ? Voire sans
encouragement, sinon, mesdames, que faire ? juste attendre que ce soit
vous qui fassiez les premiers pas ? et alors nous pourrons, nous les
hommes, crier au scandale pour VIOL