Excellent article.
Ils ont, avec la Covid, usé et abusé de l’inversion accusatoire. Rappelez-vous la canicule de 2003 : si votre mère-grand était décédée d’hyperthermie, c’était de la faute de ses voisins, qui n’avaient pas songé à aller lui offrir une bouteille d’eau...
Plus la faute qui leur incombe est énorme, plus ils vous accusent d’être responsables de la catastrophe.
Il s’agit par ailleurs d’observer que les mandarins hospitaliers ont été remplacé par des mandarins politiques. Nombre de médecins font de la politique, ils sont députés, ministres, maires, conseillers, sénateurs... Ce qui signifie que la destruction de l’hôpital, c’est aussi de leur fait.
Non seulement ils ont continuer à supprimer des lits depuis mars 2020, mais les millions donnés au lobby pharmaceutique pour des pseudo-vaccins, sont autant d’argent non dédié à la santé publique, à l’hôpital et aux soignants...
S’il y a un jour une nouvelle épidémie due à un nouveau virus, l’hôpital public n’aura même plus droit de cité.
Et les politiques, pour échapper à un soulèvement général, donneront sans doute l’ordre aux flics de tirer dans le tas en hurlant que c’est de la faute à ceux qui n’appliquent pas les gestes-barrière, ou qui ne se font pas vacciner tous les ans, ou qui sortent de chez eux, ou qui manquent d’hygiène, ou qui ramènent des virus depuis l’étranger...
Puisque ça va de pair avec l’énormité de leurs fautes, lesquelles vont crescendo.