@Claude Courty
ok avec vous pour dire que le RU peut ne pas s’ajouter aux dépenses, mais pourrait remplacer toutes les aides actuelles. Toutefois toujours pas OK sur le principe du RU qui donne sans exiger de contrepartie.
L’absence de contrepartie peut s’expliquer dans un revenu « jeunes » car la collectivité prépare son avenir (soyons réalistes même si ce n’est pas glammour = elle prépare les futurs producteurs qui permettront a tous de consommer dans qqs années), et je suis donc favorable a un « RU jeune » remplaçant toutes les autres aides et avantages liés aux enfants (belle simplification)
L’absence de contrepartie peut s’expliquer
aussi pour les seniors, au nom du principe que notre collectivité n’oblige pas chacun a produire jusqu’à sa mort. Ainsi la retraite ne serait en fait que le reversement des économies/prélèvements de la vie active (sur la base d’une durée de vie théorique, bien sur pas question de stopper les versements pour un retraité qui vie plus que la moyenne théorique)
Enfin, l’absence de contrepartie peut s’expliquer pour une petite part de la population, handicapée par la nature ou les accidents de la vie, pour ceux qui ne peuvent produire l’équivalent de leur consommation. Mais cela ne devrait représenter en volume qu’environ et au maximum 1% de la population (donc 1% des prélèvements qui seraient donc des dons sans contrepartie). Mais si comme lu dans certains articles, 20% des français sont handicapés, manifestement il faut revoir la définition du handicapé.
Mais comment justifier un RU pour une personne qui ne présente aucun handicap et qui ne produit rien ? Comment expliquer a celui qui produit qu’il doit en faire plus, travailler plus dur, pour donner a un autre qui sans aucune raison se contente de consommer sans produire.
Expliquez nous ? Merci