« Entrée comme membre du gouvernement Chirac sous la présidence de Giscard d’Estaing, elle se verra confiée en 1974 la défense de la loi autorisant l’avortement. »
S’attribuer le droit de vie ou de mort sur un enfant sans défense au nom d’intérêts égoïstes, est la quintessence même du pouvoir absolu convoité par les loges maçonniques, luttant depuis trois siècles pour détrôner Dieu et les lois naturelles, afin que l’homme prenne sa place.
Si la loi civile autorise le crime d’une vie innocente, chaque individu peut en son âme et conscience refuser de commettre ce crime. En effet, porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, le fœtus humain n’a pas le même ADN que sa mère, il est donc un corps étranger, un être unique, une identité à part entière, une vie en puissance.
Y mettre fin volontairement est un crime, commis de manière la plus horrible, révélé dans le célèbre documentaire du docteur en gynécologie Bernard Nathanson « le cri du silence » (âmes sensibles s’abstenir), où une échographie filmée en temps réel pendant un avortement, montre en détail la destruction du fœtus qui résiste et essaie d’échapper à la mort.
En France, plus de 210 000 avortements sont pratiqués chaque année, un véritable génocide à l’échelle industrielle.
Comble du cynisme, ce programme d’extermination de masse est financé entièrement par vos impôts, à hauteur de 70 millions d’euros par an.