Merci Jonas pour ce très bon papier.
Aujourd’hui les gosses ont à peine trois jours d’école consécutifs qu’on leur intime d’aller se faire tester parce qu’ils sont cas-contact. Après le test, on leur annonce que finalement c’est toute la classe qui ferme parce qu’ils sont plusieurs à être positifs... la reprise ne sera possible qu’après de nouveaux tests... Ils ont classe dix jours par mois en moyenne.
Ça arrange certains instituteurs et professeurs.
L’ école est en train de disparaître, petit à petit remplacée par du distanciel formaté.
Les dégâts sur les apprentissages sont énormes.
À l’hôpital c’est pire. Les 3 vagues du-tout-covid-hospitalier ont fait fuir les paramédicaux vers le privé, quand elles ne les ont pas radicalement poussé à quitter la profession. On ferme des lits depuis plusieurs mois.
Ça empire encore désormais : selon les protocoles mis en place, tous les soignants se font tester à la moindre alerte, résultat : arrêts de travail, donc nouvelles fermetures de lits, donc nouvelles déprogrammations de soins et de chirurgies...
Comme l’éducation nationale, l’hôpital public, qui déjà était à l’agonie, est en train de disparaître. De nombreuses pathologies ne pourront pas être prises en charge dans les temps.
Il n’y a pas un jour sans que les non-vaccinés soient montrés du doigt. Les commerçants sont sur la défensive, certains se voient refuser leur prêt par les banques. La plupart des vaccinés se comporte comme de vulgaires suppôts, à répéter mot pour mot ce qu’on leur serine à la télé. Les effets secondaires sont passés sous silence. Les journalistes parlent des 2-3 pays qui reconfinent, sans jamais parler de tous ceux qui ne le font pas, ni préciser que ces confinements sont en réalité des fermetures de commerces ou d’écoles. Les gens deviennent de plus en plus fous.
Depuis longtemps les conflits armés ne peuvent plus exister entre certaines nations, tandis que les PsyOps les plus agressives ne sont possibles que dans des pays dont les populations sont suréquipé en écrans Internet et télévisuels. Des populations âgées et aisées, dont les comorbidités sont bien prises en charge médicalement et pécuniairement...
J’en viens donc à me demander si nous ne sommes pas effectivement en pleine guerre. Les médias semblent à la manoeuvre, avec des complicités parmi les plus hauts dignitaires, Macron et Delfraissy en tête. Mais pour qui travaillent-ils ? Il faudrait découvrir les commanditaires.