@ㄈϤ尺Цら
Meme la technologie ARNm ne me gene pas si elle est utilisé a bonne
escient par des micropiquure dans une tumeur cancereuse que l’ on veut
tuer avant de l’ enlever par exemple ...
tout à fait d’accord. La thérapie génique a sa place, au cas par cas, quand le pronostic vital est mis en jeu pour des maladies graves/orphelines sans autres alternatives curatives, pas dans le cas du covid pour un traitement vaccinal, où les sujets véritablement à risque sont clairement identifiés. Mais évidemment, côté financier, cela pèse peanuts, vu le peu de monde que cela concerne... Donc aucun intérêt pour Big Pharma, par contre un abonnement à vie pour injecter le monde entier (sauf ceux pour lesquels ils seraient obligés d’assumer les conséquences, ex. réfugiés, apatrides * * *), alors là c’est tout bénéf.
Dès le départ, j’ai trouvé que toute cette histoire puait pour une simple et bonne raison, frappée au coin du bon sens : malgré l’arsenal thérapeutique dont la médecine dispose et qui aurait pu entrer en jeu au début de la pandémie, jamais personne, dans les messages officiels je précise, n’a ne serait-ce que suggéré de traiter les malades avant que cela ne dégénère. Non. « Restez à la maison et gavez-vous de Dolipran ». Au passage, je rappelle quand même que le paracétamol, pourtant en vente libre, est la cause de la moitié des greffes de foie en France* * *.
* * * N.B. à Lièvre Blanc : vous n’avez qu’à chercher les sources vous-mêmes, plus envie de tout servir sur un plateau :-> .
Une « vaccination » de masse avec ce genre de produits, en plus en pleine pandémie, ne peut conduire qu’à la catastrophe. Je cite de tête un intervenant dans une émission de la RTS : « on a un moustique dans la maison et on met le feu à la baraque pour s’en débarrasser ».