Bonjour Olivier.
Le terme FIN DE RACE, n’est pas si innocent.
Il sous entend, la perte de bien des acquis, y compris celui de la valeur humaine, qui apparemment ne fait pas son voyage, dans le continuum génétique, mais
« s’ankylose », ( Merci Vereux) pour en arriver à bloquer le dernier avatar pondu, en une posture de défi permanent et illusoire, d’une autorité, qui s’effrite
i n é l u c t a b l e m e n t .
C’est bien à quoi nous assistons actuellement.
La concomitance, Virus/Totalitarisme, se voulait organisée, sur la base indéfectible, du trop fameux « copains comme cochon ».
Mais voilà, le petit virus, fait fi, des protestations de non létalité, réclamées comme un pacte, par son pote cochonou, resté bien seul, en rondelle de salami, face à ses stats pelures, et à ses lits d’hôpitaux, qu’il ne peut plus détruire, au risque d’être en contradiction trop voyante, avec ses larmes de cochon, versées, pour adoucir les angoisses des personnes, qu’il a si bien transformé en jambon de Paris, cuits à coups de torchons, ou ointes par ses injections bien salées.
Alors que leur reste t-il, à part de « fumer » les récalcitrants ?
L’entêtement ! l’entêtement, qui leur coutera leur tête.
On voit bien, que déjà, ils veulent imposer la primauté des sal(R)aisons Européennes, Et, l’andouillette (pur verra) qui était dans le fumoir France, vient de trouver, un nouvel abattoir couronné, où il pourras modifier le Nutriscore de la Raie Publique, sous prétexte de CONforter son action, en sauvant « sa touffe de plastique annelée » par le boyau, dont il compte s’envelopper, comme un produit de piètre qualité, ou même les moisissures, ne pourront lui donner la conservation du vrais ris(ible)
« La patrie du cochon se trouve partout où il y a du gland »
(’ dixit Fénelon /Dialogue des morts)
Bien à vous Olivier
Et que cette année vous soit douce.