../...« Il nous paraît nécessaire de mettre en place des règles qui assurent que les gouvernants seront des représentants de la volonté du peuple. Ce qui commence par la purge des institutions pour en réserver dorénavant les postes à des individus occupant les fonctions à titre désintéressé et ne se trouvant pas dans une situation de conflit d’intérêt - en opposition avec l’intérêt général ( l’intérêt général incluant la prise en compte de tout le monde) ../... »
En France, Mr Macron, Président de la République Française en exercice, ex banquier d’affaires à la banque d’affaires Rothschild & Cie, dont il devient associé-gérant en 2010.
En Italie, Mr Mario Draghi, actuellement Président du Conseil des ministres d’Italie, ex Vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs (banque d’affaires) de 2002 à 2005, il est gouverneur de la Banque d’Italie de 2006 à 2011, puis président de la Banque centrale européenne de 2011 à 2019.
Deux états européens dirigés dirigés par deux ex-banquiers.
Un hasard ?
La situation monétaire sera-elle au cœur du sujet ?
Notamment la pression sur l’Euro ?
En jeu, la somme colossale de la dette des états ?
Toutefois, une situation qui n’est pas pour déplaire à tout le monde..
En effet pour éviter une incapacité des états à rembourser leurs dettes (et donc sous leur pression amicale), la BCE (Banque Centrale Européenne) est contrainte de maintenir les taux auxquels les états empruntent, à un niveau bas.
MAIS par ricochet, voici une autre conséquence des taux bas, rarement dévoilée :
Voir à 38’22 du témoignage d’ Anice Lajnef : sa compréhension des risques associés aux taux bas, et sur le pouvoir qu’ils transfèrent aux milliardaires
Voyage au cœur du système financier avec l’ex-trader Anice Lajnef, ancien trader à la Société Générale à Paris, Nomura et Barclays à Londres
https://youtu.be/KcBJ5WVys_M