« Il est interdit au médecin de refuser de soigner un malade pour un motif discriminatoire ou pour des raisons financières »
Sauf que nous sommes en guerre, et qu’en temps de guerre, y a-t-il des citoyens pour se demander s’ils ont le droit de violer, de tuer, de voler...Nous sommes en guerre, et l’état de droit a disparu depuis le 16 mars 2020 — j’ai l’impression d’en avoir déjà pris pour 10 ans !
Les restrictions au lieu d’être levées se corsent. Désormais, il est prévu que pour circuler, vivre tout simplement, il vous faudra un pass vacinal ! Et même les doses répétitives de vaccins ne suffisent plus puisqu’il vous est demandé un super pass ! Car il est acté que tout vacciné peut contaminer, et qu’il lui faudra en supplément avoir un test négatif pour avoir le droit de circuler, de vivre.
Alors oui tout est possible avec ce gouvernement et tous ces « rantanplan » qui nous imposent cette violence quotidienne.
Faire payer les non vaccinés, dans ce cas, ils n’ont ni à donner leur sang ni leur corps à la médecine. Ni à porter assistance à personne en danger pour ne pas la « mettre encore davantage en danger ». Puisqu’il convient de « garder ses distances » !
Ne pas davantage payer d’impôts ni de cotisations. Malheureusement, dans ce dernier cas, comme les salaires n’appartiennent pas vraiment à ceux qui les reçoivent, l’état se chargera de toute façon de les ponctionner.
Comme il le fait déjà en toute légalité...
Qui aurait cru possible il y a deux ans que nous aurions régulièrement été assignés à résidence, avec parfois de couvre-feux, que tout aurait été fait pour ne pas nous soigner et nous rendre malades, que nous aurions eu l’interdiction de faire du sport, de prendre un café debout, de s’asseoir sur un banc ne serait-ce que pour se poser, de travailler, d’aller à l’école ou à l’université, de prendre le train, de s’allonger sur une plage, de se promener dans un endroit désert, la liste des maltraitances infligées n’en finit pas.