@Eric F
Toujours des raccourci !
Les territoire polonais, part du gâteau de l’URSS, c’était les territoire que les polonais avaient pris au russes en 1920 avec l’aide de conseillers militaires français, dont le capitaine De Gaulle faisait partie. Le territoire polonais devait se limiter à l’est par la ligne éponyme Curzon proposée par ce diplomate à la conférence de Spa. Cette ligne qui suivait en parie le fleuve Bug fut déterminée par la présence d’une très forte majorité de russes. Le traité d’assistance franco/russe de 1935 ne fut jamais appliqué car les accords militaires qui devaient lui donner corps ont été saboté par le haut commandement français. Et puisque vous citez l’année 1935, permettez moi de vous rappelez le traité naval anglo/allemand qui, avec 440.000 tonnes, le tiers le la flotte anglaise, non seulement mettait l’URSS à la portée d’une agression navale de l’Allemagne du fait de sa frontière de l’époque avec la Finlande du côté de Leningrad (motif de la guerre d’hiver), mais autorisait l’Allemagne à construire une flotte presque équivalente à la flotte française. Et tant qu’on est à parlé de traité, je soulignerai le traité Franco/russo/ tchécoslovaque de 1935 ; ce qui n’a pas empêché la France, l’Angleterre, l’Allemagne et l’Italie de signer les accords de Munich sans y avoir convié l’URSS et... ...la Tchécoslovaquie...
Si on y ajoute les atermoiements franco/anglais de 1939 sur l’accord de l’alliance de revers, on comprendras que l’URSS pouvait difficilement refuser l’offre d’Hitler qui permettait de tenir l’Allemagne plus à l’ouest et lui donnait du temps pour se préparer à la guerre que l’Allemagne lui ferait. Churchill lui-même, qu’on ne peut soupçonner de sympathie pour Moscou reconnu que c’était l’intérêt national russe !
Par avance, je vous prie de m’excuser si l’Histoire ne tient pas debout !