Bonjour @Laurent Herblay

« Enfin, cela pointe son caractère assez détestable, comme s’il était un enfant mal éduqué incapable de se maitriser, alors que la représentation est tout de même un élément majeur de la fonction qu’il occupe. Cela est d’autant plus le cas, comme quelques uns l’ont souligné, que Macron parle de son « envie », tout autant d’emmerder certains Français qui respectent pourtant la loi, que d’être candidat. Le mot a son importance et renvoie à une vision finalement bien puérile des choses. »

« Le terme envie, par-delà son caractère puéril renvoit à quelque chose qui n’est pas rationnel, une forme de pari politique qui consiste à faire des non vaccinés les bouc-émissaires commodes de la crise sanitaire. Idem sur sa candidature : parler d’envie est assez aterrant et montre le manque de hauteur du personnage. »

A l’instar des innombrables petites phrases dont il nous a gratifié, son irrépressible incontinence verbale exprimée pour « envie » plutôt que « projet », est particulièrement symptomatique du personnage et du registre dans lequel il évolue !

Très clairement, l’abus sexuel incestueux dont notre petit Monarc a été victime à l’âge de 14 ans paraît avoir durablement voire définitivement entravé le développement affectif de sa personnalité à un stade aussi préoccupant que précoce d’immaturité, profilant ainsi son aussi brillante que redoutable personnalité psychopathique de pervers narcissique et manipulateur !

Qu’il ait du fait de sa rouerie pu par d’habiles intrigues et manipulations s’emparer de la plus haute fonction républicaine et par là disposer pour hochet du destin de la France, de sa République et de ses citoyens n’arrange évidemment rien, tant pour ces derniers particulièrement malmenés que pour le renforcement narcissique de son propre délire fantasmatique de toute puissance !

La nuisance autocratique et l’impéritie managériale de ce sombre personnage sur notre République et ses citoyens ne sont désormais plus à démontrer : saccage en règle du code du travail, exemplarité mutilatoire et éborgneuse de la très cruelle répression appliquée à la « foule haineuse » de « gens qui ne sont rien » poussant l’outrecuidance jusqu’à revendiquer en gilets jaunes leur dignité citoyenne, brimades et assauts incessants contre leurs droits des chômeurs et pensionnés, vente à l’encan des fleurons industriels de la République, confiscation du débat citoyen par la marginalisation de l’Assemblée Nationale et dévoiement en « guerre » de la menace pandémique pour mieux imposer les diktats sanitaires issus d’un très opaque Conseil de Défense couvert par le secret du même nom, gestion calamiteuse et selon les meilleurs conseils marketing du cabinet Mc Kinsey de la pandémie par confinements, port obligatoire du bâillon, couvre-feux, « sédation finale » appliquée en Ehpad à nos anciens sous Rivotril, interdictions de prescriptions médicales hors la voie du seul « Salut vaccinal » renouvelable, ausweiss sanitaires et maintenant « vaccinaux » numérisés, désignation à la vindicte citoyenne des « non-vaccinés » et autres réfractaires à une injection génique encore au stade expérimental pour boucs émissaires à l’impéritie managériale ayant mené la santé et l’hôpital publics à la ruine, ...

Par la porte ou par la fenêtre, il est maintenant temps de définitivement mettre terme aux velléités autocratiques et tyranniques de ce zélé larbin du Nouvel Ordre Mondial.
Mais la Pensée Unique et la servitude à laquelle nous soumettent ses structures globalisées (€urocratie, OTAN, Banque mondiale, FMI, OM$, GAFAM, ...) ont plus d’un tour dans leur sac pour au delà de sa seule personne nous maintenir sous la coupe de l’idéologie néo-libérale et managériale qu’il sert pour notre ruine si obséquieusement, et si nombreux sont les prétendants au trône et aux ors de la République à se bousculer dans le panier à crabes, la mascarade démocratique ne nous propose hélas - hors quelques nuances climatiques, genrées ou identitaristes dans l’agencement des paragraphes - qu’un même programme économique et politique porté - de Jadot à Pécresse et jusqu’à Z. et Le Pen en passant par Hidalgo et Taubira - par une large majorité des postulants au suffrage citoyen.

Bien à vous, en vous présentant mes cordiales salutations !