@Jean Dugenêt
Bonsoir,
voici vos mots (dans votre réaction à des commentaires) :
" Il n’y a pas de reproche dans l’affirmation mais un constat. C’est ce qui s’est passé.
Nous
soulignons dans l’article qu’il s’agit d’un différent entre deux
puissances capitalistes. Nous n’avons aucune raison de choisir l’une
plus que l’autre. Dans le conflit entre ces deux puissances, il y a eu
d’abord une défaite de Poutine puisqu’un gouvernement ukrainien qui lui
était favorable a laissé la place à un gouvernement en accord avec
l’impérialisme européen (défavorable à Poutine).
Il y a eu ensuite une victoire de Poutine qui a réagi en envahissant
la Crimée. Nous ne disons pas qu’il a eu raison ni qu’il a eu tort.«
Je note donc : »un constat« , puis »envahissant« puis »Crimée"
J’ai bien réagi à votre commentaire.
Pas besoin de revenir à Staline, la guerre 40-45 et ses suites ont fait bouger pas mal de frontières en Europe. La réalité de la population russophone majoritaire en 2014 en Crimée est indiscutable. Cette majorité était bien plus bas au Donbass, mais ils se font fait massacrer quand-même par le nouveau pouvoir de Kiev.