Quelque chose gêne
à la lecture de cet exposé un peu scolaire qui enfonce une porte
ouverte sur la base d’une inversion typiquement technocratique
du sens et des causalités :
avant de promouvoir des
« espaces verts » pour la santé publique faudrait
peut-être prioritairement cesser l’urbanisation toxique qui détruit
le milieu biologique-écologique sain existant ! Et par voie de
conséquence détruit les solidarités communautaires humaines.
Faire carrière
dans la technocratie mondialiste type OMS, la pseudo « communauté
internationnale » en fait américano-impérialiste, c’est l’art
de déplorer les effets dont on chéri les causes, d’obtenir des
crédits pour les étudier, y pallier artificiellement et
bureaucratiquement sans remedier ni contrer le moins du monde
les pouvoirs destructeurs qui y trouvent profits.
Vivement que les
africains des diverses Afriques s’autonomisent de la tutelle
néo-colonnialo-mondialiste pour se réapproprier, non pas leurs
« territoires » (horreur administrative !), mais leur
terres-mères. Nous aussi d’ailleurs.
Mais bon je me mêle
peut-être de ce qui ne me regarde pas... quoique.