@doctorix, complotiste
merci pour ces précisions. Il n’est pas facile de s’y retrouver tant les récits abondent, chacun détenant une part de l’histoire, et une synthèse exhaustive fait encore défaut. Cette vidéo l’est peut-être mais 8 heures c’est trop long pour la plupart des gens. Moi-même je ne sais pas si j’irai jusqu"au bout, surtout quand j’aurai écouté la sélection proposée. Merci encore.
’’A vrai dire, nos adversaires intoxiqués pourraient nous retourner les
arguments de la psychologue en disant que c’est nous qui sommes dans le
déni et eux dans la vérité.’’
— > « Comme ils ont en poche les clés des prisons Et qu’ils font métier de mentir Ils s’appellent les réalistes. » (Marcel Martinet, militant révolutionnaire socialiste et pacifiste et écrivain prolétarien)
— > « Nos plaies ouvertes saignent parce que les gens voient qu’un tas de connards à qui ils ne confieraient même pas un stand de hot-dogs dirigent leurs vies. » Tim Willocks
’’On ne peut pas parler à des gens dans le déni, car cela les renforce dans leur angoisse. ’’
— > il y a déni et déni : le déni réussi et le déni commun. Le premier est le déni pervers, jouissif ; le second est le déni qui protège, contre un danger ou une angoisse. Cf. le syndrome de Stocholm.
’’ Elle propose trois solutions, la première étant de ne pas rompre le lien ’’
— > D’autant plus que parmi les vaxxés il y a des personnes qui nous sont chères et qui s’y sont résignés par altruisme. Ce sont aussi des héros.
Enfin nous sommes tous dans la même galère car ce qu’ils appellent coronavirus est en fait cette mystérieuse protéine spike lâchée dans la nature et qui menace autant les vaxxés que les autres.
Toxicité de la protéine spike « cette protéine est un facteur de virulence essentiel du virus. Or, c’est justement cette protéine qui a été choisie comme antigène dans les vaccins à ARNm ou à ADN. En résumé, le problème des vaccins anti-Covid à ARNm ou à ADN est que la protéine spike qu’ils font fabriquer par les cellules a la même toxicité que la protéine spike du SARS-CoV-2. Par Jamila Buret scientifique, docteure en physique, professeure universitaire à la retraite. »