Commentaire de Sergio
sur Le Code-barres et la mort du commerce
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Bonjour Nicolas
Enfant j’allais aux ’Coopérateurs’ déjà une chaîne de magasins dans le Nord de la France, c’était souvent pour les bouteilles de pinard que mon père éclusait par désespoir ou bien pour noyer la tristesse de sa jeunesse d’après guerre, je l’aimais. J’étais amoureux de l’hôtesse de caisse, j’aurai acheté n’importe quoi pour la voir et la revoir, je vous dis pas celle qui s’occupait des consignes.
Aujourd’hui, pour acheter un marteau, je suis obligé de faire 30 kiles car plus de magasins de bricolage, mais heureusement que tout le monde fait la queue aux caisses automatiques pour s’auto-doucher, moi je retrouve les caissières sympa en essayant de ne pas recevoir le marteau sur la tronche.
Bel article Nicolas et je m’y invite avec un peu de mon espace de vie, cordialement
Derniers commentaires
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13/02 16:34 - Nicolas Cavaliere
@In Bruges Il est pourtant vrai, le ticket de caisse, tout comme ce qu’il facture, (...)
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10/02 15:42 - In Bruges
@Nicolas Cavaliere @ Sergio (une peu plus bas) T’façons, « tout est menti », y compris (...)
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09/02 21:07 - Nicolas Cavaliere
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09/02 21:05 - Nicolas Cavaliere
@sylvain Il n’y a plus que quelques vendeurs transnationaux, et le code-barres est un (...)
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09/02 21:03 - Nicolas Cavaliere
@PascalDemoriane Je vous conseille fortement le livre de David Graeber, « Dette : 5000 ans (...)
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09/02 20:57 - Nicolas Cavaliere
@Doume65 Allez ! Dès que j’enclenche le mode Francis Cabrel, je m’y penche ! Sans (...)
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