Tout-à-fait d’accord avec vous.

Avec mes amis « pro-soins »,

x=x--- plutôt que cet énorme gaspillage d’argent

x=x--- avec des effets secondaires vaccinatoires à court terme potentiels largement démontrés par le tardif rapport de l’AME (l’Agence Européenne du Médicament) le mois dernier

x=x--- et des effets à moyen et long termes inconnus,

nous préférons la prévention et la surveillance médicale systématique pour toutes les personnes à risque ou craignant d’être à risque :

==> Consultation immédiate (checkup complet) pour les contaminés, avec

==> suivi téléphonique quotidien d’une minute par jour : relevé de température, tension et oxymétrie (oxymètre offert).

==> Envoi à l’hôpital à temps, dans le bon délai, cette fois-ci (la majorité des décès sont dus à une arrivée trop tardive à l’hôpital. Le reste découle des comorbidités existantes aussi avec les grippes ordinaires).

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Au lieu de fermer 5.700 lits en pleine épidémie, le gouvernement aurait du respecter son engagement solennel à les augmenter au cours de ces 2 dernières années de gestion calamiteuse.

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Isoler les contaminés avec interdiction de consulter un des 105.000 médecins du secteur privé était une grossière erreur médical. Voire criminelle, car les malades ne savaient pas quoi faire pour les premiers soins salvateurs et surtout, une abrutis par la fièvre et/ou l’hypoxie, quand exactement aller à l’hôpital). Au lieu de son entêtement criminel, le gouvernement aurait du écouter nos propositions « pro soins » il y a un an et demi et empêcher ainsi au moins la moitié des décès.

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Au lieu de réanimer une vieille loi immonde du régime de Vichy mettant à pied 15.000 soignants, sans salaire ni indemnité de chômage, le gouvernement aurait du utiliser ce précieux personnel pour maintenir à flot le nombre de lits d’hôpital et activer notre politique complémentaire de « soins immédiat avec suivi ». Cette politique sanitaire plus logique, plus intelligente, plus efficace, aurait coûter bien moins cher au niveau budgétaire, social, économique et surtout en terme de mortalité.

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Si Olivier Véran n’est pas démis de ses fonction avant la fin du mois de février, l’actuelle majorité le payera très chèrement sur le plan électoral (et collectivement).

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Mais cette majorité de godillots semble, comme trop souvent, complètement hors sol, suicidairement autiste sur ce dossier sanitaire comme sur bien d’autres. En refusant systématiquement d’écouter les complaintes des citoyens en colère et l’élémentaire bon sens, elle connaitra l’effroyable défaite électorale qu’avait déjà subi, à l’époque, en 1997, l’ENArque autiste, champion du reniement, arnaqueur trop sûr de lui, Alain Juppé. Comme lui, l’actuelle élite dirigeante prétentieuse, aussi aveugle que péremptoire, imbue d’elle-même malgré les innombrables échecs spectaculaires, rejoindra les poubelles de l’histoire.

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En 1997 comme aujourd’hui, ayant tout fait comme sonneur d’alerte pour que cette Bérézina politique n’arrive pas, je ne m’en réjouirai aucunement, puisque c’est la France qui en paye à chaque fois le prix fort en terme de déclin à tous les niveaux.

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Cordialement.

Tristement.