« L’état , sauf quand il enfourche le dogme ultra-liberal, tombe rarement en faillite (Nos amis Argentins, fideles génuflexeurs des potions ultra-liberales ont connu une effroyable crise).... »
Je ne crois pas qu’il soit « Ultra-libérale » d’embaucher massivement des fonctionnaires, même si l’on est argentin.
Quand à l’Etat qui fait faillite, ouvrez un livee d’histoire..
« La dette des états modernes (la dette britannique vaut largement la dette française, mais avec un endettement privé colossal outre-manche) de ces dernièrs vingt ans vient de politiques qui se sont attachées à satisfaire une profonde dérive ultra-liberale. »
Je vous laisse lire le rapport sur la dette public pour constater que ce que vous affirmez est complétement faux.
« Limiter les desordres (y compris guerriers) des exces du liberalisme c’est également redonner du poids à la démocratie dans les choix économiques opérés. Et donc réactiver une démocratie qui ne fait plus qu’essayer d’accompagner, sans réussir à les inflechir, les dégats provoqués par des pouvoirs privés sur-puissants qui ne désirent pas partager les richesses produites. »
C’est plutôt vous qui ne désirez pas partager les richesses produites..
« Ré-activer le principe démocratique c’est refaire venir la volonté populaire sur le terrain economique. De telle façon de rompre avec les discours politiciens actuels, de plus en plus tournés vers des roulements de muscles sécuritaires et violents, inversement proportionnels à leurs pouvoirs sur la marche économique réelle du pays . »
Les politiciens n’ont effectivement aucun pouvoir sur l’économie, sauf celui de nuire. Quand au populo, il faut tout de même avouer que l’on se fiche complétement de son avis, qui n’est (même démocratique) que de la jalousie et de la haine de classe, mais n’est pas du domaine de la rationalité, et qui en plus va contre son interet.