Oui bon panorama,
bilan d’étape bien articulé sur le fait macro-historique clef de la
transition du capitalisme industriel au capitalisme financier, c’est
à dire finalement du capital à vocation encore productive (se
heurtant au plafond de la surproduction) au capital totalement
parasitaire comme seule finalité de reproduction de lui-même.
Oui, système d’accumulation de valeur fictive qui ne peut trouver de
concrétisation que dans la destruction de tout ce qu’il s’approprie
indûment par fausse monnaie.
Nous sommes au bout de la grande
parenthèse capitaliste qui ne laissera rien de vivant derrière
elle. Rien ! Que des sous-humains dans un écosystème monde
dévasté et toxique.
Il serait temps,
et même trop tard, de comprendre que la « démocratie »
ne fut qu’une forme fétiche intermédiaire de cette transition
accomplie.vue de laquelle les états nations ne sont plus que
des infrastructures obsolètes et les peuples que des cheptels
surnuméraires. Des entreprises d’élevages en faillite qui ne
parviennent même plus à détruire par surconsommation addictive
leur surproduction inutile ! (Baisse tendanciel des taux de
profit).
Il serait temps,
et même trop tard, que nos amis « de gauche progressistes
ou écologisante » comprennent qu’ils en ont été les
co-artisans culturels, les vecteurs du formatage mental du
consentement à cette fin du monde des nations conscientes,
propriétaires et fières d’elle-mêmes.
Non, l’ami Octave le Bel,
un leader politique agenouillé devant Black Live Matter de Soros, du capital
financier pur porc, ne peut être le vecteur d’un peuple
re-verticalisé, non ! c’est mort !
Amicalement qu’en même.